TREIZIEME PRIME -DEMI FINALE- 05/11 ◑ fans, proches, public, journalistes

Gabriel a écrit:

" Moya Brennan? "

Stojan a écrit:

« Sharon Corr ? »

Ginger a écrit:

Laura Izibor ?

Maxyne a écrit:

« Nadine Coyle ? »

William Quincy-Clifford a écrit:

« Bravo Ginger ! Il s'agit en effet de Laura Izibor.
Tu remportes donc la somme de 3000£. Félicitations.



Spoiler:


Gabriel, Stojan et Maxyne vos réponses ne pouvaient donc être exactes.
Je serais presque tenté de vous en donner une dernière... »

Le prime avançait à bonne allure, comme d'habitude et j'aime praticulièrement le thème de ce soir... Les questions sont bien trouvées et d'un sadisme particulier... J'aime bien, c'est marant ! Je le conçois, ça doit l'être bien moins pour les candidats parce que Willy peut être imprévisible. Avec Lucy à ma gauche, nous commentons ce qui se passe en riant et je lui confirme : Effectivement... Willy est sadique, et c'est trop bon ! Je sais, c'est rare de me voir comme ça, mais je pense que le jeu m'a un peu changée ce qui n'est pas forcément une mauvaise chose. Je suis peut être moins Bisounours, moins fleur bleue qu'avant. Oui, je pense que c'est ça ! Thrown Dice et le château Quincy-Clifford m'ont endurci. Ca ne me fera pas de mal je pense ...

Après avoir lu le mot que lui adressait Bonnie, Ginger regarda l'une des caméras et affirma à l'attention de sa sœur cadette, de Nathan, mais aussi de ses autres proches, qu'ils lui manquaient également et qu'elle les aimait. Elle ponctua ses propos en envoyant des baisers. Cela fit chaud au cœur de Bonnie.
William posa ensuite une question à Seth, puis une autre à Stojan, et tous les deux réussirent à y répondre correctement, même si ce n'était pas exactement ce que le Maître attendait comme réponses. William décida de poursuivre le prime en posant les fameuses questions de rapidité, qu'il avait l'air d'affectionner tout particulièrement, puisqu'il les proposait quasiment à chaque prime. Encore une fois, Bonnie bottait en touche et ne voyait pas de qui il pouvait s'agir pour chacune des questions posées. D'ailleurs, pour la seconde, les candidats n'avaient pas l'air plus avancés. Mais, Ginger finit par trouver la bonne réponse. Voilà une raison de plus d'être fière de sa sœur ainée !

William Quincy-Clifford a écrit:

« Avant une autre question de rapidité, notre écran semble vouloir s'adresser à l'un d'entre vous... »

L'écran s'adresse à...

GABRIEL !

« GABRIEL, cite moi la première chose à laquelle te fait penser le terme "cerise" »

Le prime avançait à une vitesse folle, à tel point que je ne parvenais plus à suivre. Je suivais les instructions de la production dans mon oreillette pour parvenir à garder le rythme. Il fallait tout de même que je puisse commenter les choses au fur et à mesure qu'elles advenaient. Gabriel puis Ginger venaient de remporter chacun une question de rapidité, et la somme de 3000£. Ce n'était pas évident, il fallait le souligner, et après de nombreuses réponses données au hasard les deux candidats étaient finalement parvenus à se détacher des trois autres. Une telle somme n'était pas négligeable... Enfin, avant de lancer une autre question de rapidité, l'écran interpella Gabriel. Ce dernier devait donner la première chose à quoi lui faisait penser le terme "cerise". Pas évident, et assez farfelu une fois encore.

« 3000£ pour Ginger et Gabriel, qui se sont plutôt bien débrouillés lors de ses deux questions de rapidité ! Désormais c'est à Gabriel, seul, de faire ses preuves et de citer ce à quoi lui fait penser le terme "cerise". Quelle sera sa réponse ? Qu'en adviendra-t-il du sort du candidat ? La réponse, tout de suite ! »

Cette question me fit esquisser un sourire dû à l'énorme ânerie à laquelle je venais de penser... Ce à quoi le terme cerise me faisait moi, personnellement penser ? À une banque et assurance française, Groupama. Passant pas mal de temps en France, car ayant de la famille là-bas, j'étais souvent confrontée à leurs spots publicitaires mettant en scène une jeune blonde toujours dans des tenues à pois verts. Mais Dieu seul savait ce à quoi ça faisait penser Gabriel...

Gabriel a écrit:

« Tomate. »

William Quincy-Clifford a écrit:

« Gabriel, le Maître pensait exactement à une tomate cerise, tu as visé juste sur ce coup.



MIAM MIAM...

Ta réponse me satisfait, et c'est pourquoi tu remportes une lettre de Julee-Ann. J'ignore si c'est réellement un cadeau cependant... »

Spoiler:

William Quincy-Clifford a écrit:

Question de rapidité...

Quelle actrice des années 1970 pouvez-vous reconnaitre sur cette image ?



EN JEU : 3000£

Tentez votre chance, vous n'avez rien à perdre !

Le Maître eut l'air de vouloir faire une pause dans ses questions de rapidité et recommença à poser ses drôles d'interrogations sans queue, ni tête, visant tout simplement à deviner ce qui pouvait passer à travers l'esprit – tordu ? – de William. Gabriel fut le premier à être de nouveau soumis à ce petit jeu. Cette fois-ci, il réussit à être plus chanceux qu'au début de la soirée, puisqu'il tomba juste. Toutefois, au vu de la récompense qu'il reçut, ce n'était peut-être pas ce qu'il pouvait espérer de mieux. Une lettre d'adieu... Contrairement à Ginger, il ne pouvait même pas compter sur ses proches pour le soutenir et lui envoyer des mots d'encouragements. De quoi plomber le moral du candidat pour le reste de la soirée.
William, quant à lui, enchaina sans plus tarder sur une nouvelle question de rapidité, qui, une fois encore, eut le don de laisser Bonnie perplexe.

Gabriel venait de donner une réponse qui plaisait visiblement beaucoup à William. Du coup, le jeune homme avait remporté grâce à cela une lettre de Julee-Ann... Quelque chose me disait que cela ne lui ferait pas que plaisir, car Julee-Ann et lui s'étaient plutôt quittés en mauvais terme. La jeune femme avait prit une décision qui n'avait pas réjoui Gabriel, et qu'elle lui avait annoncé lors de leur rencontre dans le S.A.S il y a peu de temps. A peine le jeune homme avait reçu sa lettre qu'une nouvelle et sans doute dernière question de rapidité apparaissait à l'écran. Il s'agissait d'une actrice des années 1970 à découvrir. Elle semblait blonde, mais tout cela ne me disait rien. Les années 1970, ce n'était pas réellement mon époque.