ENTRÉE DES CANDIDATS - [27/06 - 19H30]

« Nous en arrivons donc aux lieux au sein desquels nos candidats seront amenés à vivre durant les prochaines semaines, et je crois savoir que la production s'est particulièrement appliquée à créer un très joli cadre de vie pour ceux qu'elle aime appeler les "invités" du Maître. Mais ce à quoi ils ne s'attendent pas, et je pense effectivement les surprendre là-dessus, c'est que le domaine Quincy-Clifford ne sera pas l'unique endroit où ils évolueront cette saison. Eh non ! La production a décidé, pour la toute première fois dans l'aventure Thrown Dice si je ne m'abuse, de retaper le village le plus proche pour y installer des cottages, et pas que, pour nos candidats. Je récapitule donc : en plus du château où ils trouveront bon nombre de lieux à découvrir et exploiter, les candidats pourront aussi se balader dans les charmantes petites rues de ce village, sans occupant depuis un bon moment maintenant. William n'a eu aucun mal à acquérir celui-ci, ces terres sont maintenant les siennes. La particularité du village, c'est qu'il est divisé en deux coins distincts : d'une part les habitations, dites cottages, où nos candidats dormiront à plusieurs répartis dans des petites maisons proches les unes des autres. Et à côté de ces cottages, ils auront aussi à disposition une maison commune contenant salle de bain et autres, bref, ils devraient passer autant de temps dans le cottage qui leur aura été attribué que dans cette maison commune, en principe. Et le second coin qui se distingue dans ce village, c'est celui des boutiques car oui, la production a fait fort, elle a été jusqu'à installer des petits commerces, une sorte de vrai petit centre-ville où, j'en suis sûre, nous verrons beaucoup nos candidats trainer. Bien sûr, tout leur y sera accessible sans qu'ils n'aient besoin de dépenser la moindre livre et tout ceci est avant tout symbolique, vous l'aurez compris. Néanmoins il y a beaucoup à faire dans ce coin-ci, entre l'atelier cupcakes, le minimarket ou encore le magasin de souvenirs... je mets d'avance cent billets sur le premier, les gourmands s'y rueront je n'en doute pas un seul instant. Et donc, pour en revenir au château en lui-même, sachez que la production a autant misé dessus que sur le village. Car oui, on pourrait croire que toutes ces nouveautés l'auront poussée à négliger le demeure du Maître alors qu'il n'en est rien, bien au contraire. Tenez, si un candidat est pris de l'envie d'épouser l'un de ses camarades, il le pourra plus ou moins dans la white chapel digne de celles que l'on trouve à Las Vegas ! Et vous êtes fan de la série Games Of Thrones ? alors vous apprécierez à coup sûr le trône de fer, installé dans les sous-sol en clin d'oeil aux nombreux adeptes de cette série à succès - on raconte que William l'affectionne lui aussi beaucoup, ceci expliquant peut-être cela. Il vous sera aussi possible de prendre la pose dans le studio photo, d'explorer une grange perdue en plein champ, et même... de mener l'enquête sur la disparition d'une gouvernante, dont la chambre a été laissée en l'état dans le château depuis qu'elle s'est mystérieusement volatilisée un beau jour. Croyez-le, les mystères sont nombreux cette saison et s'il est demandé chaque saison aux candidats d'être à l'écoute et très observateurs, cette fois, il se pourrait qu'il faille l'être encore plus.

Évoquons les fondamentaux de Thrown Dice, à présent. Le Gramophone existe toujours, oui, je crois qu'on est pas près de voir une saison sans les manifestations de celui-ci, généralement très attendues par nos candidats. Pour rappel, cet engin diffusera de temps en temps de la musique et le premier candidat à l'intercepter à ce moment-là bénéficiera d'un indice lié au morceau diffusé, sachant que chaque morceau, et donc chaque indice, sera en rapport avec le secret d'un candidat. Ritchie ayant clarifié certaines choses au sujet du confessionnal la saison passée, je souligne juste que ce lieu est toujours exclusivement réservé à la chasse aux secrets et que donc, toute intrusion pour une autre raison que celle-ci pourrait être suivie de conséquences pour le ou les concerné(s). Je terminerai en vous disant que les commandements de Maître sont à connaître sur le bout des doigts, et bien évidemment à respecter. Vous trouverez ceux-ci affichés un peu partout dans le château, ainsi que dans chaque cottage et commerce du village. L'idée c'est que vous les ayez bien en tête, William y tient, alors faites au moins semblant de les lire avec attention quand vous passez à côté hm. Bien, j'en ai terminé avec les lieux. »

Raphaëlle. Orion note rapidement dans un coin de sa tête parce que c’est bien d’arriver avec quelqu’un, ça crée des liens, pas vrai ? Enfin, le brun reporte son attention vers l’extérieur, marmonnant son anxiété et il sent que la jeune femme lui tapote la main. Orion tourne un rapide regard vers elle, un peu perturbé, et fini par sourire vers elle comme pour la remercier. Arrivé dans le hall, le brun se tourne vers Raphaëlle, lui tient la porte et propose de boire quelque chose, elle lui répond aussitôt pour un jus de pomme et il hoche de la tête, prêt à trouver ça sur la table. « Je note ! Humm… Oui tant pis, je vais prendre une coupe de champagne. » Le français fait la moue et prend la coupe que lui fait sa partenaire du soir et il se laisse entraîné, plaquant un léger sourire sur ses lèvres lorsqu’ils arrivent devant deux jeunes femmes (INES&JUSTINE) et un garçon (ISIDORE.) « Bonsoir. C’est ça, je suis bien… est-ce qu’il y a un problème avec le champagne, mate ? » Il demande en se tournant vers le garçon, fronçant un peu son nez vers sa coupe de champagne ensuite et soupire presque tristement dedans. « Je cherchais une bière mais je crois qu’il n’y en a pas… » Il hausse des épaules ensuite et se place un peu plus contre le bras de sa jolie blonde, écoutant la réponse de la fille qui vient de se présenter, Justine. Sa remarque lui arrache un léger rire et il jette un regard vers Inès, lui offrant un léger sourire avant de se tourner à nouveau vers Justine. « Ok, donc, ce champagne il est bon ou pas? Et... vous venez d’où ? » Il demande à la ronde finalement.

Elle sourit alors que le jeune homme s’avoue vaincu à demi-mot. Il fallait être idiot pour résister en même temps. Mais le savoir vivre dont il fait preuve au travers de son baisemain parfait suffit à Inès a l’estimer. Elle dit donc, sur le ton de la plaisanterie, mais n’en pensant pas moi : tu es français, cela suffit déjà à faire de toi quelqu’un qui s’y connaît bien mieux que toutes les personnes ici présentes. Elle jette un regard furtif à sa coupe qu’elle abandonne sans regret. Il n’avait pas l’air bon de toutes façons. « Inès, Inès... t'es une des deux pro de l'entrechat c'est ça ? » Elle lève un sourcil avant de répondre, dédaigneuse : Non, je suis étoile. L’autre est... elle s’arrête là, et ponctue sa phrase avec un mouvement las de la main en levant les yeux au ciel. Elle ne sait pas exactement à quel moment ils ont commencé à parler français mais elle s’en porte aussi bien. Elle aime tellement sa langue, si belle. Cet Isidore lui parle finalement d’une bagarre entre elles deux. Elle laisse échapper un petit rire avant de dire, sûre d’elle : au risque de te décevoir, ça n’arrivera pas. Elle ne fait pas le poids de toutes façons.

je hoche la tête en entendant ce nouveau surnom. très bien, ce sera Vovó dans ce cas. ça m'amène d'ailleurs à me demander d'où cette petite peut bien venir, parce que ce n'est pas le genre de surnom que les gens donnent à leur grand-mère par chez moi. sauf que je n'ai pas le temps d'avoir dit quoi que ce soit qu'elle s'en va pour aller chercher Daniel. et celui-ci dément férocement avoir des enfants avec moi. et ça me fait rire de bon coeur une nouvelle fois. « je ne suis pas assez belle pour vous, monsieur ? », je demande tout en riant. non pas que je veuille le mettre mal à l'aise, mais c'est pour rire, voilà tout. « eh oui, cinq mariages ! mais ils se sont tous mal terminés, alors fais-moi plaisir, ne dis pas oui à n'importe qui, hm ? », je souris de nouveau. tout ceci n'est pas une fatalité, bien au contraire. et ma petite Gina me demande si je compte me trouver un sixième mari. « je dois dire qu'il y a de très beaux hommes, mais je crois que cinq, c'est déjà beaucoup trop ! alors je vais passer mon tour sur le sixième mari. », je réponds, bienveillante et souriante. avant de me tourner vers Ezio. « à moins que tu veuilles m'épouser ? », eh, je demande comme ça.

Les mains moites, les doigts tremblants et le souffle saccadé. Cela faisait longtemps qu'Anastasia n'avait plus eu ces sensations. La dernière fois devait remonter lors de sa première présentation à The Daily Mash. Pourtant la blonde est de nature confiante, sûre d'elle, même un peu trop. A quelques minutes de son entrée dans le château une boule de stress se fait ressentir, comme de l'adrénaline. Mais c'est l'excitation et la découverte de l'inconnu qui lui font cet effet. L'excitation de se dire qu'il est enfin l'heure pour elle de participer à l'aventure. Ce n'était pas un rêve, mais plutôt des pistes de réponse à ses interrogations. La Russe est assise sur une chaise, face au miroir. Une maquilleuse tourne autours d'elle depuis de longues minutes, tapotant son pinceau à de multiple reprise sur le visage de la jeune femme. C'est même un peu trop pour elle qui n'a pas l'habitude de porter tant de maquillage que ça. «  Oh, oh arrêtez ! Vous voyez bien que je suis belle au naturel. Pas besoin de ça.  » dit-elle en repoussant le pinceau de la maquillage qui s'éloigne dans un soupire. Anastasia se lève de son siège tout en se regardant une nouvelle fois dans la glace. Sa tenue est parfaite, un peu original mais pas trop exubérante. Il s'agit d'un top noir avec un col Claudine avec une mini jupe noire. Pour les chaussures par contre, Anastasia a voulu taper dans l'original. Se démarquer des autres. Un assistant arrive près d'elle et lui indique l'endroit où elle doit se mettre. L'excitation monte en elle. La blonde se retrouve à côté d'un homme brun au regard mystérieux. Elle fait sa première rencontre de l'aventure. C'est doté de son sourire charmeur qu'elle entame la conversation avec son futur colocataire. «  Shannon ? C'est pas un nom de fille ça ?  » Provocatrice, elle l'avait toujours été. «  Echantée, je suis Anastasia » Elle s'empare du bras du jeune homme rapidement. L'excitation l'envahit, elle ne tient plus en place. «  всегда готов
 ! » ( * toujours partante ) Dit-elle pleine d'en train. C'est sur le rythme du jeune homme qu'ils arrivent tous deux à destination. Ils ne sont que dans le hall que les battements de coeur d'Anastasia se font plus rapide. C'est merveilleux. Presque aussi beau que dans ses rêves.


tenue

Soit, lui non plus n'était pas vraiment habitué à ce genre d'endroits démesurés, quoi qu'il ne doutait pas qu'il allait s'y adapter très vite ... Il était en vacances après tout, et en vacances on profitait. Il ne voyait toujours pas le rapport avec la scène mais n'était pas suffisamment d'humeur à chercher la petite bête, d'autant plus que la conversation avait déjà dérivé vers les supposés fantômes que pourrait abriter ce château. Gina copinait régulièrement avec les revenants, à l'entendre, alors des fois qu'elle ait envie d'en faire profiter Mo. « Je te prends au mot, hein. » Autrement dit il ne faudrait pas qu'elle s'étonne s'il la trainait au détour d'un couloir pour partir à la chasse aux fantômes, dans un futur assez proche. Rejoignant un petit groupe de candidats Mo les avait salué, Holly le complimentant pour une tenue dont il ne se sentait pas de prendre le crédit, trop honnête pour son propre bien-être sans doute « Elle m'enlève les mots de la bouche. » qu'il avait d'ailleurs répondu tandis que Gina complimentait à son tour la jeune femme. Lâchant finalement son bras, piétinant comme une enfant qui peinerait à rester en place, Gina avait piqué un baiser sur sa joue avant de s'éloigner « Heey, tu m'abandonnes, sans remords ? Ça sera pas suffisant pour te débarrasser de moi. » Non, ou bien seulement pour l'instant, mais elle n'en avait pas fini avec lui maintenant qu'il la trouvait mignonne. Reportant néanmoins son attention sur James, qui leur proposait d'aller leur chercher à boire, il avait levé son verre de soda et secoué légèrement la tête de manière négative « J'ai ce qu'il me faut, merci. » Suivant néanmoins le jeune homme jusqu'au buffet tandis qu'Holly demandait après de l'eau, il en avait profité pour revenir à la charge avec Gabin et Iris, pas très bavards lors de sa première tentative. Et pour cause semblait-il, puisque mademoiselle ne parlait pas et que monsieur assurait être le seul détenteur du code secret permettant de communiquer avec elle. « Gab ? Va pour Gab, une seule syllabe c'est parfait. Et moi c'est Mo. » Une syllabe aussi, ils allaient pouvoir former un club, auquel Iris ne participerait pas puisqu'il s'agissait de son nom à en croire le dénommé Gab. « Oh ... » avait-il alors murmuré d'un ton intrigué en comprenant qu'elle n'entendait rien à ce qu'il venait de dire. Et faisant mine de se pencher vers Gabin sur le ton de la fausse confidence il avait demandé « Et tu veux que je te file combien, pour m'apprendre à communiquer avec elle ? » Parce qu'il était on ne peut plus intéressé, là. Reprenant un air plus sérieux et faisant mine de s'éclaircir la gorge, il en avait profité pour présenter son acolyte du moment « Lui c'est James. Ancien de la team Rocket, en reconversion professionnelle, il faut être gentil avec lui. » Clin d’œil au dénommé James, après quoi il avait présenté son verre de soda à la bouteille de bière d'Iris en lui adressant un sourire bienveillant. Elle n'avait pas besoin d'entendre pour comprendre qu'il trinquait pour la saluer, à priori.

Le dédain dont fait preuve Inès l'amuse au plus haut point. Isi se doute qu'elle ne doit pas être particulièrement aimable au quotidien mais identifier tout de suite celle avec qui il pourra parler dans le dos des gens n'est pas plus mal. C'est alors qu'il va pour répondre qu'un garçon s'incruste dans la conversation. Il a un accent tellement british qu'Isidore pourrait parier sur son lieu d'origine. Jonglant entre les langues comme un professionnel du cirque avec des torches il répond à Orion dans la langue de Shakespeare. « J'expliquai à Inès, que j'avais entendu une rumeur qui dit que les techniciens crachent dans un verre et parient sur qui avalera le mollard. C'est pour ça que je suis au vin c'est bien plus identifiable un crachat dans le bordeaux. » Il ne relève pas le commentaire sur la bière, c'est un alcool qu'il n'affectionne pas, en fait il n'en affectionne presque aucun, seuls les vins et le rhum trouvent grâce à ses yeux. Et puis il reporte son attention sur Inès, parlant français comme si les gens autour d'eux étaient parfaitement bilingues, qui dénigre complètement les chances de l'autre danseuse. Le mot étoile est prononcé et ça fait comme un déclic dans la tête d'Isidore. En bon consommateur d'informations obsessif qu'il est il a lu un bouquin d'Amélie Nothomb sur le monde de l'opéra. « Étoile ? Vraiment étoile ? Comme au dessus du coryphée ? Ça revient pas à dire que tu ne vis que pour la danse ? » reprend-il en français en excluant un peu les autres d'une conversation devenue un peu plus personnelle. « Moi c'est Isidore, elle c'est Inès et elle... Justine il me semble, et toi tu t'appelles ? » interroge un Isidore curieux à l'intention du jeune britannique qui vient de débarquer.

Jamais tu n’aurais imaginé stresser à ce point pour…ça ! C’est vrai que tu étais allée aux castings par hasard, tu avais postulé sans trop savoir dans quoi tu embarquais et le moins que l’on puisse dire, c’est que tu n’avais pas vraiment mesuré l’ampleur que prendrait ce coup de tête ! Mais il était trop tard pour reculer alors pour une fois, tu avais décidé de lâcher prise et laisser l’histoire s’écrire tout naturellement pour toi. A vrai dire, toutes tes pensées s’entrechoquaient dans ta tête et bien que tu attendais sagement ton tour dans les coulisses, tu ne pouvais t’empêcher de tortiller une longue mèche entre tes doigts. Même leur contact ne te calmait pas : tes cheveux habituellement bouclés avaient été lissés pour l’occasion et tu n’osais même plus repenser à ta tenue. Tu avais hésité des heures durant, tu t’étais changée une bonne douzaine de fois pour finalement opter pour une chemise blanche, un veston de satin noir ainsi qu’un long pantalon noir qui mettait en valeur tes longues jambes filigranes. Une robe aurait peut-être davantage fait l’affaire ? Mon Dieu aurait-il vraiment fallu une robe ? Eh voilà, ça n’avait pas loupé : tu commençais à te ronger les cuticules. Quand enfin, on t’annonça qu’il était temps pour toi de faire ton entrée ! ça y est ! C’était ta minute de gloire ! Te levant de ton banc, tu jetais ta tignasse dans ton dos avant de t’engouffrer dans la voiture qui te menait, toi et l’autre participant, directement à la villa.
Tu pouvais sentir ton cœur battre plus fort et l’adrénaline pulser dans tes veines. C’était pourtant con, des situations compliquées tu en avais déjà affronté des pires et pourtant, c’était la première fois que tu te mettais en scène TOI. Pas un personnage inventé de toute pièce. Toi, Nour. Probablement la première fois que tu allais te mettre à nue et donner une chance aux autres de tomber les masques. Peut-être te découvrir toi-même qui sait ? Oui sans doute mais ton objectif premier, c’était de te faire rapidement une place dans la villa alors pourquoi ne pas commencer immédiatement ? Posant alors ton regard sur le mec installé face à toi (LAJAK), tu l’observais sans détour un petit sourire fiché au coin de tes lèvres. « Pas trop nerveux ? »  Parle pour toi ! Qu’il morde à l’hameçon ou non, tu te félicitais d’avoir fais le premier pas mais vous n’eurent guère le temps de vous raconter vos petits secrets que la voiture s’arrêtait déjà.
Adressant un dernier regard au candidat qui t’avait tenu compagnie sur le voyage, tu sortis de la voiture après avoir pris une profonde inspiration et d’un pas décidé, mais pas trop, tu poussais la porte de la villa pour enfin découvrir ton nouvel univers. Ce monde pour lequel tu avais signé sans lire les petites lignes en bas de page. Et ils étaient tous là, tes nouveaux camarades de jeu, en train de boire, papoter, se montrer des albums photos tout ça. Dessinant un petit sourire au bout des lèvres, tu t’approchais en glissant les mains dans les poches de ton pantalon pincé. « Bonsoir ! » Tonnes-tu avec ta voix un peu rocailleuse et ton étrange accent des quartiers populaires de Londres.