Sauron. (lundi à 14h45)

@Louis

Jill, elle se trouve en pleine phase de découverte bis du petit catalogue de lieux que la production a aménagé pour leurs beaux yeux. Ils ont toujours des idées chelous, ces cons, comme d’installer un laboratoire au sein du loft. La môme, elle ne pige pas trop le projet, mais elle a fini par arrêter de tenter de comprendre tous leurs délires au moment de créer le cadre de l’émission. Forcément, elle se demande s’ils ont engagé le même archi d’intérieur pour l’appartement situé à Linz. Est-ce que le reste des candidats évolue exactement dans les mêmes décors malgré leurs situations géographiques différentes ? Mine de rien, Jill, elle est un peu soulée d’être encore une fois out de son squad de copines. Elle se sent laissée sur le carreau, comme à chaque fois que Lejla et Cami s’en vont pour une de leur soirée entre schwartzies. La môme, elle en a un peu marre de ne pas se faire inviter, surtout que maintenant, elle se retrouve à devoir traîner avec Rosamie ou Roma si elle veut se lancer dans des conversations spéciales zouz. So boring. Elle poursuit sa visite, esquissant un sourire lorsqu’elle découvre Louis-sensei, confortablement installé dans la zone suivante. Elle l’aime bien ce gland, parce qu’il a un petit côté troll qui matche parfaitement avec sa personnalité de brat balançant des scuds à tout le monde. Elle s’incruste dans un fauteuil, posant son petit regard de chatte dans le sien. « J’ai décidé que tu serais ma nouvelle Lejla. » elle déclare cash sans trop lui demander s’il était prêt à assumer ces fonctions de chaperon pour adolescente farouche. Jill, elle assume pleinement les qualités de bouche-trou de Louis, tout comme à ce qu’il parait, il assure également l’interim du côté de Costa pour remplacer Santo. Trop de candidats désœuvrés à gérer en même temps pour le frenchie. « Nos occupations habituelles consistent à faire des soirées pyjama, parler de garçon, boire des shots ou regarder les films de mon choix. » Parce que pour être le BFF de Jill, l’une des caractéristiques primordiales requises, c’est d’avoir le background nécessaire pour la suivre dans toutes ses références pop culture. Si ce n’est pas le cas, Louis, il risque de se manger à l’occas’ des regards désapprobateurs et arrogants de la part de la cool kid de la saison. « Comme je suis sympa, je te laisse décider de l’activité de la journée. » Même si en secret, elle s’octroie d’office un droit de veto dans sa tête dans le cas où il la décevrait avec une idée teubée.

Le plot twist de la veille c’était du grand délire. Ils avaient râlé tout ce qu’ils avaient pu contre l’excès de transports subit pour accéder jusqu’à Hallstatt, et voilà qu’ils les refoutaient dans un avion un mois plus tard. Ils étaient tous partis fissa après de brèves embrassades, comme si leur groupe de colo se divisait pour deux explorations différentes. Louis ça ne lui déplaisait pas de changer un peu d’environnement, le seul truc lui ayant véritablement cassé les couilles étant les deux machines qu’il avait dû faire ce matin pour rattraper le fait que sa valise en tissu ait pris l’eau la veille. En attente de la fin du second cycle, il s’est posé sur le balcon pour y enchainer les clopes et les réflexions personnelles. Affalé dans le fauteuil, les pieds calés sur le rebord de la table basse, c’est une Jill sauvage qui pop-up soudainement pour lui partager sa nouvelle lubie. La brat comme d’habitude elle débarque sans prémices, elle s’impose et force est de constater qu’elle a effectivement perdu ses deux bonnes copines pour la semaine. La gosse forcément elle cherche un substitut principalement Lejla bien connue comme sa tutrice officielle. « Qu’est-ce que ça implique ? » il demande calmement, tirant sur sa clope. Il sent le plan foireux, évidemment, alors il attend qu’elle développe le contenu de leurs occupations habituelles entre meufs. Le truc c’est que Lejla elle est particulièrement facile à vivre, son degré de patience étant nettement supérieur au sien, même si Louis ça ne le surprend qu’à moitié qu’elle jette son dévolu sur lui. Il s’entend plutôt bien avec Bratie, qu’il estime déjà être sa version du Birdie que lui attribue Lejla, ne sachant pas trop jusqu’à ça peut vraiment l’emmener car la gosse elle est connue pour se lasser à la vitesse de l’éclair. Il l’écoute attentivement comme s’il avait le pouvoir de considérer l’offre qui n’en est pas une. Il a l’impression qu’elle est à deux doigts de se faire embarquer jouer à la poupée, Louis. « Je pose un véto sur tout ce qui se passe dans un collège ou un lycée. » Il expose sa condition très sérieusement avec son air non-négociable, pour le reste il se croit capable d’aviser. Jill elle le charge de trouver de quoi les occuper, et c’est avec un large sourire de satisfaction ornant ses lèvres qu’il lui signifie que c’est tout trouvé. « Va étendre mon linge. » Le partenariat c’est du donnant-donnant. « On partira plus vite pour la session shopping de cet après-midi comme ça. » Faux, il voulait juste explorer la ville pour découvrir ce qu’elle avait à leur offrir, mais pour une ado transformer l’intitulé en virée shopping ça assurait forcément plus d'impact. Il a bossé ses cours de vente Louis et il profite de son nouveau statut pour obtenir quelques avantages. « Ça t'intéresse de découvrir des nouveaux lieux ou tu t'en branles ? » il demande avec un réel intérêt. L'Autriche c'est différent que ce qu'elle doit connaître chez elle Jill, n'importe qui serait ravi mais elle ils n'ont jamais trop su ce qu'elle en pensait de tout ça au final.

Jill, elle est en pleine recherche d’un(e) candidat(e) pour assurer l’intérim pendant que ses deux seules copines Lejla et Cami se la coulent douce à Linz. Elle a passé en revue les différentes candidatures pendant peut-être cinq secondes avant de jeter son dévolu sur Louis. Son CV, c’est de loin de celui qui l’intéresse le plus avec notamment sa LV2 en sarcasme/troll qu’il maîtrise presque comme un natif. Elle se pointe avec son petit sourire, l’air de lui faire en fleur en lui donnant l’occasion de traîner en sa compagnie, mais il cherche déjà à vérifier la nature du contrat et les petites lignes en bas de page. « T’inquiètes, je prends en considération ton veto. » elle annonce dans un sourire plus ou moins rassurant face à ses tentatives de négociation à propos des tâches que le job implique. Louis, tout à l’heure, il va se retrouver devant un épisode de Charmed dénué d’ados allant au collège ou au lycée, il ne va rien capter. Par contre, il s’emballe légèrement avec ce qui suit. Euh. What ? Elle lui lance un drôle de regard quand il exige qu’elle aille étendre son linge. Petit doigt d’honneur de circonstance, avant que Jill ne fasse la remarque qui s’impose. « Ce n’est pas à Costa de s’occuper de ça ? » Elle n’y peut rien si sa valise a coulé au fond de la piscine à cause de l’autre abruti. « T’es en plein fantasme si tu crois que je vais m’amuser à étendre tes slips... » Faut qu’il arrête de la prendre pour son elfe de maison. Il lui parle d’une séance shopping, ce qui lui tire un petit rictus moqueur. « Tu comptes enfin t’acheter des fringues qui ne te donnent pas un look de plouc pour te mettre au level de ta girlfriend ? » elle demande dans un ronronnement. Louis, ce n’est franchement pas le premier de la classe en ce qui concerne la mode, au contraire de sa petite copine Cami qui gère dans ce domaine. « C’est mignon ce petit couple ambiance la Belle et le Clochard que vous formez tous les deux. » elle ricane dans son coin. En vrai, elle les aime bien les vêtements de looser chill de Louis, mais la môme, elle ne sait pas faire des compliments. En attendant, elle approuve l’activité d’un signe de la tête. « J’sais pas, c’est un peu bizarre tout ça, non ? » Jill, elle n’a toujours pas capté comment ça se faisait qu’ils se retrouvaient parachutés à 100 km du chalet en pleine zone urbaine. Elle ne sait pas trop si elle a envie de traîner à l’extérieur pour se confronter à son hypothétique fanbase accro aux wiener schnitzel. C’est bizarre, elle a l’impression d’être Kim K. avec des caméramans/baby-sitters collés aux fesses pour ne pas prendre le risque de se faire aborder par des inconnus susceptibles de vendre la mèche sur certains détails de l’émission. « Mais je suis ouverte d’esprit… » lol. Pas trop le trait de caractère pour lequel elle est réputée, la gamine. « C’est quoi ton lieu préféré ever ? »

Jill elle débarque tel un félin rôdant en quête d’affection avec ses pattes de velours et ses yeux pleins. Louis il est passé expert dans la gestion de ce profil type, assez pour identifier les subtilités que peuvent impliquer la version chaton abandonné de la benjamine. S’il se plie sans grande résistance aux demandes d’affection en tout genre, encore est-il qu’il dose son indulgence en fonction du demandeur, il prône quelques règles pour maîtriser son supplice. Cette règle elle s’applique principalement lorsqu’il a une Jill en face de lui, alerte sur tous ses délires d’adolescente qu’il n’a pas l’intention de subir. Étonnement elle lui concède sans broncher son véto, n’importe qui suspecterait l’entourloupe mais sur ce coup-là, Louis, il est persuadé d’avoir réussi sa négociation. Ça l’étonne un peu dans un pic de naïveté mais il ne s’en complait. « Très bien, marché conclu. » Il sera son Lejla de substitution pour la semaine. Il ignorait tout du pouvoir décisionnel de la ranch girl sur la gosse, c’était plutôt une bonne chose de se voir offrir ce petit privilège pour les jours à venir bien qu’il reste encore un peu de dressage pour que sa petite brat personnelle soit de parfaite compagnie. « Les services ça va dans les deux sens. C’est pas à Rosa d’assurer tes soirées pyjama ? » Il demande avec un petit froncement de sourcils l’air de demander « bah oui tiens alors ». L’image de bratie qui étend sa lessive en parfaite Cosette ça le fait doucement rire parce que, clairement, c’est le genre à déposer le tas de linge mouillé sur son lit en guise d’offrande. « Ils sont propres je ne vois pas où est le problème. » il glisse un petit sourire amusé camouflé par le rouleau de tabac qu’il porte à ses lèvres. Jill elle ne manque pas une occasion, comme tous ici, d’alimenter la running joke sur sa garde de robe. Il n’y avait que Maci pour reconnaître ses efforts à leur juste valeur -parce que leur date c’était la seule fois où il en avait réellement fait. « Sur tes conseils ouais. » Elle fait la maline Jill mais si elle est si calée, qu’elle essaie donc de s’y coller. « T’as carte blanche. » il annonce ça sans réellement le penser, réalisant après formulation le type de conséquences que ça pouvait avoir et le bordel dans lequel il s’embarquait volontairement. Il ricane parce qu’évidemment entre lui qui se fait catégoriser comme le plouc de la saison et Cami qui récupère toutes les louanges de ses camarades et des bloggeurs mode sur son sens du style ça contraste pas mal. « T’es fan ? C’est notre thème de mariage. » Il s’inspire des conneries sur lesquelles il a déjà zappé à la télé, notamment cette émission où les meufs se détruisent comme des harpies sur leurs mariages de beaufs respectifs. Bratie elle note la dimension discutable de leur séjour en ville et il expulse sa fumée, approuvant d’un hochement de tête. « Ouais, c’est très Truman show. » Trop millenials pour elle ou ça passe ? « Mais ça va faire du bien de voir autre chose, ça commençait à être lourd le chalet, Hallstatt et ses trois commerçants. » Et ce qu’il entend par là c’est que croiser sans cesse les mêmes têtes ça finissait par tous les rendre dingues, exacerbant le moindre évènement. Hallstatt c’était à la fois intense et lassant. « Ever ever ? » il demande pour se laisser le temps d’y penser. En dehors de leur huis clos il y avait pleins d’endroits qui le faisaient vibrer et en général c’était plutôt de nature dont il s’agissait. La réponse elle se nichait forcément dans un de ses treks argentins. « Le Fitz Roy dans la Patagonie argentine. » L’Argentine regorgeait d’endroits époustouflants mais le Fitz Roy c’était aussi des souvenirs pour lesquels il avait beaucoup d’affection, s’offrant un paysage époustouflant après de longues heures de marche à deux, à construire et déconstruire des perspectives, à solidifier leur complicité. « C’est un endroit où t’as un lac avec vue sur des sommets enneigés et super hyper exigus. » Il mime un angle à 15° avec ses mains. « Ça nécessite un gros trek pour y accéder mais le spectacle en vaut largement la peine. Une fois là-haut c’est comme s’il n’y avait plus que toi et … la beauté de la nature. » Jill ça ne va pas du tout lui parler son intérêt pour des cailloux mais il s’en branle. « Toi c’est quoi ? » Il aimerait bien qu'elle lui sorte un truc de son quotidien, savoir ce qu’elle fait quand elle n’est pas pendue à une série ou sur les réseaux.

Jill, elle maîtrise ses techniques d’ado élitiste à la perfection. Etre son pote vs être le pote d’une nana comme Roma qui accueille tout le monde à bras ouverts, ça n’a pas la même saveur. Elle est sélective dans ses fréquentations et quand elle se pointe avec son deal BFF à durée déterminée, elle donne une toute nouvelle importance à Louis. Le gars, il fait genre qu’il cherche à négocier pour ne pas passer pour un débile, mais elle sait comment le faire se sentir spécial avec ses prunelles de chatte câline qui vient de flairer la bonne poire qui va devoir s’occuper d’elle pour les sept prochains jours. Ce n’est pas de tout repos d’être une Lejla. Il ne le sait pas encore Louis, mais la candidate l’a habituée à un certain niveau de vie. Faut la nourrir, la distraire, accepter de se mater des rediffs de vieilles séries télés en sa compagnie… « Eww. » elle se contente de répondre à l’évocation de Rosamie pour assurer l’organisation de ses soirées pyjamas, ne s’emmerdant même plus à faire des phrases pour exprimer ses pensées. La meuf, elle doit être bonne dernière de sa liste pour remplacer ses copines Lejla et Cami. Même Carl gère mieux le classement, bien que Louis reste le number 1 du banc de touche. « J’ai pas envie de voir à quoi ils ressemblent. » elle rebondit en fronçant les sourcils à propos de ses sous-vêtements propres ou non. La môme, avec ses fluctuations hormonales d’ado, elle s’est montrée intéressée deux secondes par le gars lors de la première semaine, mais Louis a depuis définitivement rejoint la catégorie friendzone de l’extrême. Il lui fait un peu penser à son demi-frère. Sauf que Jill, ce n’est pas son délire d’aller zoner dans ce rayon-là de Pornhub donc c’est niet cette histoire de slip. « Déjà que niveau fringues ce n’est pas tout à fait ça, alors je m’attends au pire à propos de ce qui se cache sous ton froc. » Louis, avec le look de clochard qu’elle l’accuse d’avoir, il pourrait tout à fait être le genre de type à avoir ses burnes qui se font la malle au travers des trous dus à des passages en machine trop fréquents… « Ok. » elle répond simplement avec son petit sourire satisfait lorsqu’il lui octroie carte blanche pour lui trouver de nouveaux vêtements. Jill, elle est super contente de s’être dégotée une poupée grandeur nature pour aller de pair avec son statut de gamine de l’aventure. « T’aimerais te marier, en vrai ? » La môme, elle fait genre de ne pas y toucher, mais dans sa tête, elle est déjà prête à comparer sa réponse avec celle que Cami lui avait donnée la semaine précédente. La sortie en ville, elle devient de plus en plus palpable à mesure qu’ils discutent du projet, même si Jill, elle n’arrive pas à se sortir de la tête qu’ils vont partir se balader dans un décor télé. « Tu penses qu’il y a eu un casting sauvage pour remplir les rues de figurants ? » Elle s’attend à tout en plus de l’éventualité que la population de Graz soit des acteurs engagés par la production pour rendre la ville animée. Peut-être que lors de leur virée shopping, ils vont remarquer des détails étranges tel qu’une quinquagénaire qui fait du placement publicitaire du ciel. « Je suis sûre d’avoir déjà vu Klaus dans un spot sur les fuites urinaires. » elle mytho complet. Elle n’arrive pas à l’encadrer ce boomer, il est trop creepy à toujours vouloir lui refiler des bonbons. Louis, il arrive à caser l’Argentine pour son lieu préféré. Obviously. Elle pige le concept qu’il lui présente, même si ce n’est pas nécessairement son délire. Jill, c’est une meuf qui aime le béton. Le genre qui peste contre ses parents et leur idée saugrenue d’être partis s’enterrer en banlieue pour pouvoir faire des BBQ dans le jardin alors qu’elle aurait pu vivre sa best life d’ado hype en plein Brooklyn. « Comme je suis une nana à l’aise dans ses paradoxes, mon endroit préféré, c’est aussi celui que je déteste le plus. » elle balance dans un sourire en mode petite bande annonce de ce qui va suivre. « J’aime bien le train de banlieue qui va de Manhattan jusqu’à Hicksville. Ce n’est pas aussi romantique que ton bout de caillou, mais quand on le prenait avec ma bande de potes pour aller en ville, il y avait toujours quelque chose de ouf qui arrivait. » Les virées en centre-ville, elles étaient aussi drôlement chouettes grâce à ses micro-happenings spécial banlieusards. C’est aussi pathétique que passionnant. « C’est là qu’on avait nos meilleurs conversations et nos meilleurs plans dragues. » Forcément en une heure de trajet, t’es bien obligé de trouvé de quoi t’occuper. « Pourquoi t’as décidé de quitter Paris ? »

c'est encore frais dans ta tête, le fait que dès que tu vas devoir commencer à parler aux autres candidats en leur exprimant clairement ce que tu penses d'eux. ça change pas franchement de ce que tu fais d'habitude en réalité, mais c'est surtout que ça te paraît super bizarre et bien plus forcé de devoir t'exercer à aller dire tes quatre vérités à chaque personne que tu rencontres au sein du loft. le choix du nombre de candidats à aller importuner avec ça, il est vite fait, compte tenu du fait que tu dois dire à six personnes ce que tu penses d'elles et que vous êtes sept, toi comprise, dans ce loft. tu passes la porte qui mène au balcon et tombe sur Jill et Louis en train de discuter. ces deux-là, tu sens qu'ils vont être inséparables, cette semaine. bon, on y va. tu souffles pour toi-même. tu interromps leur discussion, pour commencer ta tirade. c'est pas que ça t'intéresse pas de savoir pourquoi Louis a décidé de quitter Paris, mais t'as une mission. Louis, on se connaît pas beaucoup finalement. au début, je pensais que t'étais un petit branleur, même si tu m'as sauvée de mon enfer sur glace. il s'avère que tu l'es un peu, mais j'ai quand même découvert quelqu'un de chill, sympathique et de drôle. tu as l'air d'être une belle personne. je comprends totalement pourquoi Cami t'aime autant, prends soin d'elle, elle aussi est vraiment cool. tu te tournes ensuite vers Jill. là, ça va être un peu moins fun. on se fatigue mutuellement depuis le début. malgré tout, j'essaie vraiment de passer outre notre passif à chaque fois que je te croise. j'apprécie quand même des choses chez toi, au moins t'es frontale vis-à-vis de ce que tu penses des autres. je sais pas si tu surjoues, parce que c'est un peu gros... mais au moins, je sais ce que tu penses de moi. ce que j'apprécie pas, en revanche, c'est ton manque de respect que t'as pour tous les autres candidats. est-ce que tu respectes au moins ton cercle de potes, ici ? j'apprécie pas non plus que tes questions hyper intrusives et que tu déformes mes propos auprès des autres. mais c'est pas une nouveauté non plus. malgré tout, je regrette de n'avoir aucune idée de qui tu es, en dehors de ça. tu lâches, en la montrant de ta main en faisant des cercles. allez, bon aprem. tu lâches avant de te retourner pour rentrer. mission #1 accomplie.