Floyd
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Avatar : OSCAR SPENDRUP
Localisation : DANS LE JEU
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(#) Sujet: i hate you as much as i love you ⊰ AVATARS LIBRE — Dim 12 Aoû - 16:59 | |
| L'AVATARS EST LIBRE, MAIS VU QU'ELLE EST HAWAÏENNE, PLUTÔT UNE METISSE. SI VOUS AVEZ BESOIN D'AIDE, JE PEUX VOUS AIDEZ Liloï Alors Floyd, qu'est ce que tu peux me dire au sujet de Liloï ? Parce que c'est évident qu'il y a un lien entre vous... Par exemple son âge, sa profession, sa nationalité et, pourquoi pas, sa situation amoureuse.La jeune femme est d'origine hawaïenne, mais elle a quitté sa ville natale il y a plusieurs années pour tenter sa chance sur le continent. Après plusieurs mois aux états-unis, elle obtint la chance de partir pour londres pour exercer le métier de mannequin. Elle enchaîne les shooting pour des petits contrats, mais elle s'en contente pour le moment espérant qu'un jour le succès viendra frapper à sa porte. Elle prend aussi des cours de théâtre, car elle aime voir grand, alors pourquoi pas devenir actrice tant qu'elle y est ? Elle a la vingtaine, et elle est actuellement célibataire. Ce n'est pas une fille qui pense beaucoup aux garçons. Elle s'en fout un peu et aime son célibat, malgré que parfois elle se sent seule et aimerait quelqu'un pour la tenir au chaud. Ah ouais, carrément. Et sinon, quel est ta relation avec Liloï ? Bah oui, on veut tout savoir nous. Vous êtes proches, en très bons termes ou au contraire en froid... Dis-nous tout !Nous sommes à la fois très proche, mais nous aimons aussi beaucoup s'envoyer sur les roses. Je l'ai rencontré à un cours de théâtre et le courant n'a pas immédiatement passé. Nous n'étions pas sur la même longueur d'onde, moi le garçon timide et elle, la jeune femme sans complexe. Notre début d'amitié fut difficile et houleux, mais au fil des mois on a apprit à mieux se connaître, à s'attacher l'un à l'autre, à même s'apprécier (mais sans ambiguïté). C'est peut-être la seule amie que j'ai à londres. Ensemble on se marre plutôt ben, on partage des tripes bien délirants, ça nous arrive même de nous confier l'un à l'autre, mais c'est plutôt rare. On peut s'engueuler violant et la minute suivante se faire des chatouilles. Ce sera notre dernière question. Pour finir, crois-tu que Liloï va suivre ton aventure avec intérêt ? Et penses-tu qu'il/elle se montera intéressé si tu parviens à remporter le jeu ?Même si elle m'a promit qu'elle ne le fera pas, je sais qu'elle suivra mon aventure. Elle adore l'émission en plus de ça.
Ma relation avec Liloï « Maintenant le baiser » « Jamais de la vie. Je ne l'embrasserais pas. En plus ... en plus elle est vulgaire ! » « Vulgaire ? Moi au moins je n'ai pas de balai dans les fesses ... » « Espèce de ... ». Je me retiens de lui balancer à la gueule ses quatre vérités. Tout chez elle m'agace, sa tête m'agace, son allure, sa façon de parler, de me reluquer, (...), je ne peux plus la voire en peinture. Voilà plusieurs séances qu'elle a rejoint le groupe de théâtre et qu'elle pourrie l'ambiance. Et maintenant on doit jouer une scène où je dois l'embrasser ? Mon cul. Jamais je ne l'embrasserais. Mais le metteur en scène s'impatiente. Il commence alors à nous faire la morale et nous propose un exercice. C'est l'exercice de confiance où l'autre doit se laisser tomber dans les bras de son partenaire. Dos à moi, elle n'hésite pas une seconde et je la rattrape. Je lui glisse alors à son oreille. « J'aurais dû te laisser tomber ... ». Vient alors mon tour. Je ne suis pas à l'aise avec ce genre d'exercice, je déteste ça. Finalement je ne peux pas m'élancer, j'ai bien trop les pétoches qu'elle ne me rattrape pas. Je prends alors pour excuse mon poids. « Je suis bien trop lourd pour qu'elle me rattrape, je ... je ... » « Alors tu fais la scène du baiser sans rechigner ! Sinon tu ne pourras plus venir aux cours ! ». Un ultimatum, quelle pouasse. Je grimace, je jure dans ma barbe mais finalement je me place devant elle. Je commence à jouer la scène puis quand vint le moment fatidique, j'approche mon visage du sien pour rejoindre mes lèves aux siennes. Ce fut rapide, mais efficace. Je l'ai fait et je suis fier de moi. Et contre toute attente, elle m'affiche un large sourire et vient me féliciter. « Je savais que tu pouvais le faire ... ».
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