time's up. (mar 10h50)

Time’s up.
Mardi – 10h50
@Rosamie

A choisir entre le chalet et leur petit studio moderne, Louis, il choisissait le studio. L’endroit lui donne l’impression de se promener dans un Airbnb de luxe qu’il n’aurait jamais été capable de se financer ne serait-ce que pour le temps d’un week-end. En revanche si toute cette nouveauté et l’animation de la ville avait quelque chose d’exaltant, il savait qu’ils attendaient tous le moment où ils pourraient se retrouver tous ensemble leur chalet devenu cocon pour chacun. Ça allait les secouer d’y retourner, tout comme ça les secouait déjà de s’en détacher. Cette pause elle leur faisait tous plus ou moins prendre conscience de l’intensité des moments qu’ils pouvaient vivre ensemble au quotidien sans qu’ils ne s’en rendent compte ; tous trop occupés à cracher dans la soupe. Louis c’était le premier pour ça même s’il se laissait lui-aussi prendre au jeu de leur microsystème au sein duquel ils gravitaient tous joyeusement. Leur Airbnb tous frais payés, là, il regorge de quelques pièces aussi étranges qu’inutiles à l’image de la salle mystérieuse qu’ils connaissaient tous très bien. Rosa elle était d’accord pour partager son avis ce matin au réveil entre un café et une clémentine alors c’est dans une suite logique qu’ils en ont fait leur petite activité matinale après qu’il soit allé se griller sa clope réglementaire. La salle à remonter le temps elle fait baliser avec son ambiance obscure ambiance futuristique des années 90, étrangement on dirait même qu’il y fait un peu plus froid. « On y croirait presque. » il moque un peu, comme s’ils pouvaient réellement remonter le temps tels des héros d’un mauvais spin-off de Retour vers le Futur. Automatiquement, ce qui attire son attention c’est évidemment la grande console maîtresse des lieux qu'il commence à pianoter dans tous les sens pour en capter le fonctionnement. « Si tu devais remonter le passé pour de vrai, tu t’arrêterais où ? » il demande dans une question soudainement très sincère, vrillant son regard sur Rosa. Louis cette semaine de pause ça lui fait ouvrir tout un champ de réflexion, et cette question en l'occurence il se la pose en ce moment-même.

t'es toujours pas totalement remise des événements de dimanche soir. d'une part, parce que la nuit a été très courte et d'autre part, parce que les changements opérés dans leur aventure (départs compris) sont difficiles à encaisser. alors forcément, t'es pas mécontente du changement de lieu, parce que le cadre est plus qu'agréable et que le comité restreint permet aussi de se rapprocher les uns des autres. bien sûr, une part de toi est aussi à Linz, où tu te doutes que la vie continue également et où les affinités continuent à évoluer pendant cette semaine de transition, tu te demandes comment ça se passe, à quoi ça ressemble. même si au fond, tu te doutes que le cadre est à peu près similaire, au vue de ce qui a été évoqué lors du prime. au petit déjeuner, tu croises Louis, avec qui vous discutez d'une des pièces un peu bizarres que vous avez découvert la veille : la salle à remonter le temps. si la production a décidé de placer ce genre de lieu dans le loft, tu doutes que ce soit pour une quelconque utilité, mais plutôt pour répondre à une demande du grand maître, que vous savez un peu excentrique parfois. suite à cette discussion, vous vous rendez assez vite dans la pièce. pendant que Louis est déjà en train de pianoter sur la console centrale, tu observes les lieux en te déplaçant lentement à travers la salle. ton regard se pose sur différents éléments et alors que Louis te fait remarquer qu'on s'y croirait, tu ne peux qu'approuver. c'est clair. tu lances avant de compléter. ça bouge, t'as vu, derrière la roue., un écran tout ce qu'il y a de plus bête répète en boucle une séquence où des étoiles s'éloignent petit à petit. l'attention est porté aux détails, en tous cas, mais tu n'en doutais pas venant de la production. la question de Louis, elle est intéressante, elle te fait sourire. la réponse, elle est toute trouvée, reste à trouver quelle formulation lui donner. je pense que je remonterai quelques heures avant la mort de ma grand-mère et de mon frère, il y a six ans., tu souffles dans un léger sourire. histoire de changer les choses, qu'il n'aille pas chez ma grand-mère, qu'elle vienne plutôt chez nous. ça n'aurait rien changé à ton secret, seulement il y aurait eu des chances pour que ta famille soit restée la même, sans pleurs. il est possible que tu n'aies pas eu à les abandonner trop vite, sans pouvoir faire ton deuil correctement. et toi ?, tu demandes dans un sourire en espérant que sa réponse concernera de près ou de loin Cami et un potentiel secret commun. surtout, qu'est-ce que tu changerais, si tu le pouvais. parce que finalement, le quand, il donne aucune indication concrète quand on ne sait pas de quoi il est question et surtout, ce que ça aurait pu changer dans l'histoire d'une vie.

Comme un enfant l’aurait fait, il fonce droit sur la console aux contours lumineux, attiré par les néons et les écrans derrière la vitre auxquels il veut trouver rapidement une utilité. Rosie elle est plus calme, elle lui mentionne la roue proéminente qu’il a volontairement squizzé au profit de son jouet électronique. « Hm ? » il grogne en relevant le nez de son nouveau jouet dont il ne trouve aucune activation pour déporter son attention sur ce qu’elle lui décrit. « Et ça, ça bouge non ? » il demande en se déportant pour faire glisser sous ses doigts les cercles chiffrés composant l’année dans le compteur. Il trifouille quelques secondes avant de se tourner vers elle, sa question elle se base sur tous les scénarios qu’il brasse dans sa tête depuis le début de la semaine. Leur interlude à Graz c’est autant une bouffée d’air frai qu’un point nécessaire sur les pendants et les évolutions qu’impliquent le jeu et tout ce qui a été fait jusqu’ici. Rosie elle s’exprime librement sur sa grand-mère et son frère dont elle ne lui avait jamais directement parlé et il ne s’y attendait pas vraiment. Rosa il lui connaissait des réponses beaucoup plus généralistes, à titre d’exemple c’était Cami qui était venue lui rapporter l’information de son frère ans un bref récapitulatif des points intéressants qu’elle avait déblayé de ses discussions. Louis il a un peu analysé les indices et ça le démange de mentionner ce qu’il en a conclu en relation avec les infos qu’elle lui donne, de la même façon qu’il avait abordé le sujet Black Lives Matter avec Kara la semaine passée. « Vous viviez sur la même île ? » il demande en remontant un peu les années pour calculer l’âge de Rosa à ce moment-là. « Est-ce qu’ils… » il se reprend de justesse, Louis à deux doigts de foncer en plein dans le tas avec une formulation sans états d’âmes. « Le tsunami et ce qui leur est arrivé, c’est lié ? » Il est parti sur ça pour se faire une idée du vécu de Rosie, informé de l’exposition des Philippines à ce genre de phénomènes et jugeant l’indice à la maison sombrant assez explicite sur le sujet. « Moi ? » il demande en ping-pong plus pour gagner du temps qu’autre chose. La réponse dans sa tête elle est évidente car il n’a pas grand-chose à regretter de sa maigre vie mais à ce stade du jeu ça devient difficile à formuler. « Je n’irais pas là où il y a quelque chose à changer, je remonterais jusqu’au moment de ma vie où j’étais le plus heureux. » Vivre dans l’euphorie du bonheur c’était son eldorado à lui, et il lui était persuadé de l’avoir vécu quelques mois dans l’insouciance de sa jeunesse folle. « Mais si je devais modifier quelque chose ce serait mon retour, je me serais débrouillé pour établir mes bases là-bas et y rester. » Comme il en avait justement discuté avec Santo qui avait relevé un point intéressant en lui demandant pourquoi son business n’avait pas trouvé plantation en Argentine. C’était un peu naïf de sa part et plutôt surprenant pour quelqu’un d’aussi pragmatique que lui mais il se disait parfois que du pareil au même, quitte à partir, il aurait dû rester là où les choses étaient les plus simples. « Mais bon facile à dire, on est pas devins. » il conclut tout de même pour passer le sujet qu'il vient lui-même de lancer, parce que refaire le monde ça n'a jamais aidé personne à avancer au final.

Louis, il lève la tête de ses trucs électronique pour venir te rejoindre près de la roue qu'il essaie de faire tourner. je pense, oui., tu souffles dans un sourire, en le laissant faire. t'attends qu'il mette une date, pour voir si en actionnant quelque chose, un changement pourrait se produire dans la salle. ce serait drôle, que les lumières s'éteignent, que la vidéo des étoiles s'accélèrent et que la pièce vibre. ça vous mettrai vraiment dans l'ambiance. il te pose ensuite sa question, et tu y réponds avec la plus grande honnêteté. c'est ça, que tu ferais, en espérant que ça puisse leur sauver la vie. tu sais pas si ça aurait changé quelque chose, mais t'aimes penser que ça aurait été décisif. il a l'air un peu surpris de ta réponse Louis, et ça te fait sourire. il enchaîne sur les questions qu'il se pose et tu acquiesces à sa première question. oui, c'était des maisons dans le même quartier., tu réponds dans un sourire. c'était chouette, parce qu'on pouvait facilement aller rendre visite à ma grand-mère, passer du temps avec elle. de toutes façons, ton île, elle était pas bien grande de toutes façons donc ça aurait été facile quoi qu'il arrive. tu souris à l'évocation de ce temps révolu, ton enfance était tellement appréciable. t'étais sur une petite île, tranquille, paisible et vous viviez une vie qui te paraissait vraiment très simple et sans prise de tête. Louis, il amorce une deuxième question mais s'arrête avant d'arriver à sa conclusion. tu lèves un sourcil, il reformule. tu secoues la tête dans un léger sourire amusé. c'était pas un tsunami., tu corriges avant de répondre à sa question initiale. mais oui, ils sont décédés après une catastrophe naturelle. tu diras pas laquelle, quand, comment, pourquoi. mais Louis, il aura les réponses à toutes ses questions sûrement bientôt. ce n'est plus qu'une questions de jours, à présent. il te pose une question et tu acquiesces. oui, toi. tu réponds dans un sourire. il t'annonce que pour lui, ce serait de pouvoir remonter au moment où il était le plus heureux. t'es surprise mais aussi assez satisfaite de cette réponse. et elle ressemblait à quoi, ta vie, à ce moment là ?, tu demandes dans un sourire. parce que t'aimerais bien avoir un peu plus d'informations sur Louis, que tu ne connais finalement pas tant que ça. il te parle de ce qu'il aimerait pouvoir modifier et il te parle d'un retour. ça attise d'autant plus ta curiosité. t'étais où ? ça t'intrigue, tout ça. il est très généraliste dans ses réponses Louis, énigmatique au possible et t'as envie d'en savoir plus. face à son retour à la réalité, tu hausses les épaules. non, mais ça coûte rien de rêver. tu souffles en t'éloignant un peu pour découvrir le reste de la salle. ça se passe comment, le copinage avec Jill ? parce que ça ne t'a pas échappé qu'elle l'accaparait autant que possible et ça te fait pas mal rigoler que Louis soit devenu sa meilleure copine de substitution.

Spoiler:

Tournant les cercles jusqu’à y ajuster son année de naissance, il en oublie d’activer le mécanisme en poussant le bouton rouge, trop absorbé par l’intérêt que prend soudainement leur discussion. Une simple question lui aura suffi à en apprendre un peu plus de Rosie, même si leurs moments passés ensemble ont toujours été appréciable et ce depuis le début du jeu ils n’ont jamais abordé de sujets plus sérieux que leurs vies en surface. Leur truc à eux c’était les sessions de sport improvisées plutôt que les tirades intimistes. Louis il en apprend un peu plus sur l’environnement de Rosie, sa proximité avec sa famille et particulièrement sa grand-mère. Ça lui arrache un petit sourire attendrit lorsqu’elle en parle et ça lui rappelle comment lui avait l’habitude de descendre la ville en skate pour se rendre chez ses grands-parents quelques patelins plus loin ; ne manquant pas de se faire réprimander à son arrivée parce que « c’est dangereux », le grand-père Léon lui assénant un crochet de la canne pour qu’il comprenne comment utiliser ses jambes à bon escient. « Trop bien. Vous deviez être très proches. » il constate, pas doué pour savoir comment réagir sur ce genre de sujet autant émotionnel que glissant. Louis dans ce genre de cas il a tendance à bien glisser et à se casser la gueule justement, alors il préfère ne pas trop s’aventurer et se contenter d’une tentative de pèche à l’information bancale. Rosie elle aurait pu s’en offenser un peu mais elle lui répond avec un petit sourire démasquant sa manœuvre. Pour autant il baisse un peu la tête, ses prunelles revenant brièvement sur l’alignement du 1994 qu’il a glissé dans l’encart de la roue. « Je suis désolé. » il amorce par politesse en vrillant son regard dans le sien, encore une fois malaisé de réaction. « Mais d’accord. En tout cas si toi t’étais à côté c’est cool que tu sois là aujourd’hui. » Voilà, voilà, il sait pas trop comment s’en sortir le Louis. A l’aide. Heureusement Rosie elle lui retourne la question et il s’adonne à une réponse dans un langage codé quasi impossible à déchiffrer sachant qu’elle ne possède pas les informations de base. Ca lui arrache un sourire qu’elle creuse parce qu’en général si on ne lui demande pas il ne s’étale pas. Sa vie, à ce moment-là, c’était l’insouciance à l’état pur. « Je vivais sous le soleil, d’amour et d’eau fraîche. » pour l’eau fraiche on repassera. Il simplifie toujours un peu les choses lorsqu’il parle de tout ça, comme si tout ce qu’il y avait vécu n’était que fête et chillance extrême. Son quotidien là-bas ce n’était pas que ça, et surtout il y avait trouvé beaucoup plus que de la débauche. « A Buenos Aires avec Cam. » il lâche tranquillement comme si l’info n’était pas du tout une nouveauté. « Enfin principalement. » Ils avaient bougé tous les deux, ne se contentant pas des ruelles de la capitale pour satisfaire leur bougeotte. « C’était suspendu comme moment, forcément en rentrant je me suis confronté à la réalité. » il hausse les épaules, vaguement satisfait de la version courte qu’il lui sert. « Ca coûte rien de rêver, non, un peu plus de tenter d’accéder à ses rêves en revanche. »  il lance ça en ricanant, lui-même surprit par la désillusion teintant ses paroles. Poussant enfin le bouton, Rosie s’éloignant en évoquant Jill, il se marre de sa remarque. « Très bien. On est inséparables. » La gamine il s’en complait très bien mis à part lorsqu’elle lui inflige ses séries à deux balles, prétextant à chaque fois une envie de pisser dont il ne revient jamais. Avec Bratie c’est fait pour fonctionner, leurs caractères ils sont clairement compatibles même le test qu’elle lui a fait passer hier le dit, la majorité de ronds ça voulait dire plus de 85%. Il a même l’impression qu’elle a commencé à réduire l’utilisation de ses qualificatifs phares à son égard. Autant dire qu’il commençait à prendre goût à son petit statut de babysit’ temporaire. « Et toi ton copinage il avance ? Je peux te donner quelques ficelles si tu veux. » Rosie et Jill c'était une pure catastrophe et tout le monde savait pertinemment que du côté de la benjamine la mauvaise entente était irrevocable

tu acquiesces lorsque Louis part du principe que vous deviez être proches. oui, on adorait tous notre grand-mère. tu souffles dans un large sourire. t'as les yeux qui pétillent dès qu'on parle de bons souvenirs avec les personnes que tu as perdu. t'évites de penser aux mauvais côtés, t'évite de te poser trop de questions. tu tentes de garder le positif, la meilleure part d'eux. elle était super aimante, le genre de grand-mère qui passe sa vie à essayer de te faire plaisir d'une manière ou d'une autre. elle aurait fait n'importe quoi pour nous. et elle s'est adoucie aux fils des années. passant d'une mère quasi-tyrannique, à en croire ton père à une grand-mère adorable qui aurait été décrocher la lune pour tes beaux yeux. elle est comment, ta grand-mère ?, tu demandes, en espérant qu'elle soit toujours là pour lui. lorsque tu évoques la part plus sombre des souvenirs que tu as de ta grand-mère, Louis, il a pas l'air hyper à l'aise. il t'annonce qu'il est désolé et tu hausses légèrement les épaules. c'est la vie... tu souffles avant de pincer un peu tes lèvres. sa deuxième partie de phrase montre encore plus clairement sa gêne. forcément, tu te mets à rire parce que cette réponse était totalement inattendue et finalement assez drôle. merci ...?, tu vois pas trop quoi répondre à ça. mais en tous cas, ça t'amuse. c'était pas des moments sympathiques, du tout. perdre ta grand-mère et ton frère, vivre cet épisode climatique, c'était pas franchement le meilleur moment de ta vie. mais tu as survécu et effectivement, même si tu vis avec le deuil, vous pouvez être contents de ne pas avoir essuyé plus de pertes. tu demandes davantage d'informations sur ce que t'as raconté Louis, parce que tu vois pas bien où il veut en venir avec son histoire. alors tu creuses et tu écoutes attentivement ce qu'il te révèles. tu vois très bien la scène, un Louis et une Cami fou amoureux l'un de l'autre, sur une plage en Amérique du Sud. tu imagines bien que la chute, en rentrant en France, ne devait pas être simple à gérer. il a pas tort Louis, lorsqu'il te dit qu'accéder à ses rêves c'est bien plus difficile que de s'imaginer y accéder. tu hoches la tête, t'imprimes les informations qu'il t'a donné. ok, donc va falloir que tu chopes un livre sur l'Argentine maintenant. c'était quoi ton rêve ? c'était un rêve partagé ou Cami rêvait d'autre chose ? tu demandes, sans savoir si ça peut être quelque chose de secret ou non. ça a pas l'air d'être un mauvais souvenir en tous cas, pas tant que ça, alors tu te permets de creuser pour cette raison. t'es pas comme ça d'habitude, tu préfères nettement qu'on te confie certaines clefs que d'insister pour les avoir. en réalité, t'as mille questions sur ce qu'il vient de t'annoncer, parce que le secret de Cami, potentiellement lié à celui de Louis, il t'intrigue depuis un moment. tu finis par changer de sujet, en évoquant Jill et leur toute nouvelle relation de meilleurs potes. tu ne doutais pas qu'ils s'entendaient bien de base, mais là, en l'absence de ses copines, Louis a pris une place de choix dans le cercle de l'américaine. j'ai vu ça !, tu lâches dans un rire. où est-ce que tu l'as laissée ? tu demandes finalement en regardant tout autour de toi, l'air de chercher une Jill qui n'existe pas. quant à des conseils, c'est pas de refus. excellente idée. dis-moi tout ! tu t'assois te pose contre la console centrale, le regard rivé sur Louis, la soif d'apprendre dans les yeux. parce que perso, je la fuis depuis une semaine mais ça risque de ne pas durer. tu l'avoues sans problème, parce que les compétitions d'éloquence avec Jill, t'en as un peu marre. surtout qu'elle gagne toujours, elle montre plus les dents que toi finalement. alors une ou deux ficelles seront pas du luxe cette semaine. notamment pour que vous évitiez de vous entretuer. ce serait chouette.

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