| | just tonight i will stay and we'll throw it all away, 14/02/2014, 21h40 | |
| Auteur | Message |
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Xavi Messages : 380
Avatar : felix bujo
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PARCOURS DU CANDIDATCagnotte: 24 250£Équipe: Affinités: (#) Sujet: just tonight i will stay and we'll throw it all away, 14/02/2014, 21h40 — Lun 10 Fév - 23:58 | |
| NEIL - Message 1:
J’ai appris la signification de la Saint-Valentin il y a peu et si au début j’étais septique, j’y ai vite vu une occasion de retrouver Neil. Je me suis aussi dit que le candidat ne devait pas faire parti des adeptes de cette fête qui, si j’ai bien compris, a des fins commerciales. Pour autant, je suis parvenu à le convaincre de passer la soirée avec moi dans la pièce secrète. Je ne lui ai pas dit ce que je lui réservais car la surprise n’est pas vraiment grande. Je n’ai pas spécialement envie de lui offrir un objet ou de lui dire des mots doux pour l’occasion. Quoi qu’il en soit, me voilà débarquant dans la pièce secrète le premier et attendant avec impatience que le candidat me rejoigne à son tour. Je lui ai laissé pour consigne, dans les toilettes, d’attendre quelques minutes avant de venir me retrouver pour ne pas qu’une personne nous associe allant tous deux dans la direction du grenier. Je reste très méfiant, d’autant plus après le buzz de la semaine passée d’Hiroo qui a dû trouver mon absence trop longue. L’avantage d’être fâché avec ce dernier est qu’il semble moins se préoccuper de moi. Je sais que je devrais lui pardonner un jour mais je pense à Neil et mon secret avant tout. D’ailleurs, ce dernier finit par se pointer dans la pièce plongée dans le noir. L’attente m’a paru interminable même si au final le laps de temps entre nos deux arrivées était rapide. « N’allume pas la lumière ! » Je m’empresse de préciser suffisamment fort pour que le candidat entende de là où il se trouve. J’entends aussitôt les bruits de pas se rapprocher puis se stopper. Je m’approche du candidat mais pas assez pour qu’il me puisse me toucher. De là, je susurre au creux de l’oreille du bellâtre quelques mots avec douceur : « Il paraît que je nourris tes nuits dans la pénombre. (il paraît) » Je reprends avec exactitude les mots du candidat qui ne m’ont certainement pas laissé indifférent lors du prime dernier puis je décide à poser mes lèvres sur les lobes du garçon avec sensualité. « Puisses-tu nourrir les miennes et m’ôter mon caleçon ? » Ma voix est devenue quasiment inaudible. Je ne souhaite en aucun cas à ce que les caméras nous voient ou nous entendent. Dans le doute, j’ai même pris le réflexe de mettre un bout de tissus sur celles-ci. De l’intimité, j’ai ai grandement besoin. Je veux retrouver Neil entièrement. C’est une nécessité.
- Message 2:
Je me rappelle encore de ma première fois. C’était avec Neil, évidemment, juste après avoir emménagé chez lui. La deuxième nuit pour être exact. Il me désirait autant que je le désirais mais ne m’a, pour autant, pas forcé la main. Les choses se sont faites naturellement et j’ai vite appris comment faire n’ayant pourtant pas reçu d’éducation sexuelle. Je ne sais pas si cela a été satisfaisant mais j’ai vite pris goût à ces plaisirs charnels si bien que j’en ai redemandé les jours suivants au joueur de tennis professionnel à sa plus grande surprise. Le sexe fait désormais partie intégrante de ma relation avec le jeune homme. Je ne pourrai à présent plus m’en passer si bien qu’en un mois d’abstinence dans le jeu, je ressens un grand manque de ce point de vu là. Je me suis d’ailleurs mis, pour la première fois, à penser à des choses auxquelles je n’aurai jamais imaginé penser un jour. Du coup, quand j'ai lu le message de Neil lors du prime, j’ai vite compris que c’était réciproque et que lui aussi ressentait un manque à ce niveau-là. Ce manque, j’ai désormais envie de le combler. C’est pourquoi, je profite de ce jour symbolique pour donner rendez-vous au candidat et lui réserver cette surprise. Mon plan se déroule à merveille malgré les questionnements du garçon. « Tu m’expliques ? » Je ne compte pas lui expliquer pourquoi je souhaite garder la lumière éteinte mais plutôt lui montrer quelles sont mes intentions. Autant dire qu’elles sont assez claires tout comme son poème l’a été. Pour autant, je ne compte pas lui sauter dessus tout de suite, non. Je me contente simplement de créer le désir chez le candidat et de faire augmenter son excitation. Au vu du frisson qui émane du corps de ce dernier, le contact de mes lèvres sur son lobe auditif semble avoir l’effet escompté. « C’est demandé si gentiment… » Je crois qu’il ne se laisse pas prier pour exécuter ma demande particulière. Le contraire m’aurait étonné. Notre couple a besoin de ça aussi. Un baiser furtif de temps en temps dans les WC ne suffit plus. D’ailleurs, celui que m’offre le jeune homme est lent et agréable. Je sais que je pourrai le prolonger aussi longtemps que souhaité, ce que je n’hésite pas à faire en accélérant l’intensité de l’échange. Désormais, je me retrouve assis de force sur le lit par le jeune homme. Ce dernier n’hésite pas à me retirer ma ceinture puis mes chaussures et chaussettes avant de s’attaquer aux boutons de mon pantalon. Je reste statique, presque spectateur de la scène. Seuls mes yeux osent s’aventurer sur le candidat. « Avant que tu m’enlèves mon caleçon, je tiens à ôter le tien. » Ma main stoppe net celle de mon amant posée sur mon jean puis, dans un élan de spontanéité, agrippe ce dernier par son tee-shirt pour le relever et l’attirer sur moi qui suis à présent allongé sur le matelas. Mes lèvres capturent celles du joueur avec désir tandis que mes jambes s’enroulent dans les siennes et que ma main se glisse dans sa chevelure. Quelques instants plus tard, je décide de renverser la situation pour me retrouver à cheval sur le candidat. Je lui ôte sans attendre son pull en même temps que son tee-shirt. Mes lèvres se posent sur son nombril et remontent le long de son torse avant de s'arrêter au niveau de son oreille droite afin d'y susurrer quelques mots. « Tu comptes faire comment maintenant pour reprendre le contrôle ? » Mes mains bloquent avec force celles du candidat contre le lit tandis que ma bouche s’aventure une nouvelle fois sur le cou et les lèvres du jeune homme afin d'y déposer de furtifs baisers.
- Message 3:
Pour la première fois depuis un mois, je peux renouer le contact physique avec Neil. J’en profite ainsi pour retrouver la chaleur de son corps et le redécouvrir progressivement en le dénudant. J’ai eu l’occasion à plusieurs reprises de voir son torse nu dans les douches ou la dernière fois au déjeuner mais la différence est qu’aujourd’hui je peux l’observer de prêt et même le toucher. Plus que cela, je peux le coller au mien pour sentir la chaleur du jeune homme. A présent, j’ai le contrôle sur la situation ou du moins le dessus et je ne manque pas de le faire savoir à ce dernier. Cela m’amuse presque de le narguer ainsi étant donné son caractère plutôt dominant. Je lui lance donc une sorte de défi en lui demandant comment il compte reprendre le contrôle de la situation. Car je sais qu’au final, c’est ce qu’il fera. Je ne le connais que trop bien. Mais je ne me laisserai pas faire pour autant. Même si je me trouve face à un compétiteur hors-pair, je ne lui faciliterai pas la tâche. « Tu me sous-estimes. » Je ne le sous-estime pas même si c’est ce que je laisse croire. Il arrivera à renverser la tendance, ça ne fait pas l’ombre d’un doute. En attendant, je ne sais pas si cela fait parti de sa stratégie ou non, mais il parvient à faire grandir l’excitation en moi en simulant des mouvements de bassins. Des gestes non-anodins qui font pourtant leurs effets. La position et l’intensité de l’action changeant et s’intensifiant, j’en lâche de légers râles de plaisir. Le bellâtre en profite alors pour venir exprimer sa domination en capturant ma lèvre tel un félin avec la sienne. Automatiquement, j’en desserre l’emprise que j’ai sur lui et ses poignets. Il me retire alors mon haut sans délicatesse. Je le laisse faire. Il a gagné la bataille. En plus, la sensation de sa langue sur mes pectoraux puis mes tétons est fortement agréable. Si bien que main vient se poser contre ses cheveux pour l’inciter à continuer. « C'était bien joué. » Mes mots sont presque coupés par un souffle haleté. L’excitation monte encore et toujours. Je regagne rapidement les lèvres du candidat en déposant mes mains en dessous de son crâne. Cette fois, le baiser se veut long et langoureux. Je n’hésite pas à recoller mon bassin contre le sien et à faire valser nos corps et nos langues. Ma bouche vient ensuite se coller contre son cou pour lui déposer quelques bisous puis sur sa poitrine. Je me décide enfin à jouer les vampires en aspirant sa peau et lui offrant un joli suçon. Je veux qu’il ait un souvenir de notre rencontre. Evidemment, le jeune homme ne se laisse pas faire et se débat. Mais trop tard. Je lui offre un sourire de conquérant, fier de mon acte. « Un partout. » Ce n’est peut-être pas judicieux en y réfléchissant de lui laisser un suçon mais la marque reste encore facilement dissimulable. Quelques secondes plus tard, ma bouche vient se poser plus bas au niveau du nombril du jeune homme et mes doigts, quant à eux, s’agitent sur le bouton de pantalon du candidat. Ils parviennent à l’enlever et à dézipper la fermeture éclair pour se glisser sur le tissus plus léger se trouvant en-dessous. Le toucher reste doux mais je parviens à constater tout de même la formation d’une bosse. Ni une, ni deux, je me décide à retirer l’avant-dernier tissu pour que le candidat se retrouve en caleçon. J’y dépose alors délicatement mes lèvres avant de remonter directement jusqu’à celles du candidat et d’y déposer un furtif baiser.
- Message 4:
Alors que les autres candidats sont occupés à réciter leurs poèmes aux personnes qui les inspirent, moi je profite du mieux possible de la personne qui m’anime. Mon amour secret. Mon amant. Il est là, dans mes bras, à moitié dénudé, assailli sous mes baisers. Il semble apprécié l’échange et mon contact mais n’en perds pas pour autant son trop plein de confiance. « Je sais… » Un fin rictus s’échappe de mes lèvres tandis que celles-ci viennent s’attaquer à sa peau et plus précisément son torse pour se venger. Je compte le marquer et lui laisser une trace de moi et de cette belle soirée qui nous aura enfin permis de nous retrouver. Tant pis pour les risques auprès des autres candidats. Il prendra sa douche seul. Comme ça, au moins, personne d’autre ne pourra admirer son corps. Je crois que je commence petit à petit à développer de la jalousie. Certainement moins que Neil vis-à-vis de moi mais je me méfie quand même un minimum. Au moins, avec cette trace, j’aurai marqué mon territoire. D’ailleurs, je le marque autrement en prenant l’initiative de me débarrasser du pantalon du candidat. Il commençait surement à lui tenir un peu chaud, puis, j’ai bien dis que j’enlèverai son caleçon avant qu’il enlève le mien. Cependant, je décide de ne pas tout retirer d’un coup. Cela gâcherait pleinement le plaisir grandissant du jeune homme qui semble gémir lorsque mes doigts et mes lèvres effleurent son dernier tissu. Un plaisir que j’entretiens avec douceur et sensualité en soulignant la bosse du candidat. Ne souhaitant pas aller trop vite néanmoins, je décide de revenir gagner les lèvres de ce dernier furtivement. C’est alors qu’il reprend sa position initiale de force en nous faisant rouler. Cela ne me déplaît aucunement. J’avoue même apprécier me laisser contrôler. Les caresses et les baisers sur mon torse ne font qu’augmenter mon ardeur. Mes sens sont pleinement exaltés, d’autant plus quand mon pantalon se voit glissé le long de mes jambes. Un frisson m’envahie tandis que les lèvres du candidat viennent réchauffer mes cuisses se rapprochant avec danger de mon entre-jambe. La chaleur corporelle ne cesse de grimper. Le bellâtre se colle à nouveau à moi, ses lèvres effleurent les miennes et ses doigts franchissent l’ultime barrière. « Tu veux ? » Mon regard vient capturer le sien tandis qu’il vient mordiller avec douceur mes lèvres. « Oui. » C’est bon. Il a gagné. Mon caleçon sera le premier à être enlevé. Peu importe. Mes lèvres saisissent sans plus attendre les siennes avec fougue quand le contact entre sa main et mon anatomie se noue. Le baiser se veut passionnel, sauvage, langoureux, au rythme des vas-et-viens incessants et de mon désir augmentant. Mes doigts, quant à eux, arrivent à se faufiler au même moment dans le tout dernier bout de tissu restant pour venir caresser l’arrière du candidat. Rapidement, ils parviennent à faire tomber l’ultime barrière tandis que mes jambes s’emprisonnent dans les siennes pour cesser toute distance. Mes doigts s’entrecroisent entre les siens et se placent au-dessus de nos crânes mêlés et mon corps, lui, s’ancre contre son bassin pour suggérer un mouvement déjà exécuté.
Dernière édition par Xavi le Lun 17 Fév - 2:36, édité 6 fois |
| | | Neil Messages : 285
Avatar : bastiaan van gaalen
Age : 33
PARCOURS DU CANDIDATCagnotte: 41000£Équipe: Affinités: (#) Sujet: Re: just tonight i will stay and we'll throw it all away, 14/02/2014, 21h40 — Mar 11 Fév - 21:59 | |
| - Message 1:
Je suis assez sceptique quand Xavi vient me parler de Saint-Valentin. Non pas que je ne veux absolument pas la passer avec lui, c’est plutôt tout un concept personnel. Même lorsque mes relations vont pour le mieux, je n’aime pas célébrer la fête des amoureux. Je pense qu’on n’a pas besoin d’une journée particulière pour montrer son affection, ça doit être fait perpétuellement, mais je me laisse convaincre. Je suis heureux à la simple idée de le retrouver dans le repère des tourtereaux, ça va me faire un bien fou ce petit intermède passé avec lui. Je suis scrupuleusement ses ordres en patientant pendant un petit moment. Je traînaille dans les couloirs pour faire passer le temps en étudiant avec attention les parures au mur au style si moyenâgeux. Faudrait lui dire au William que c’est dépassé depuis plusieurs siècles tout ça. Je lui donnerais le numéro de ma décoratrice d’intérieure un de ces jours, ça ne devrait pas lui faire de mal. Quand je juge qu’il est l’heure, je file jusqu’à notre entrée secrète pour finalement débarquer dans une pièce plongée dans le noir. Surpris, je crois constater que mon amant n’est pas encore arrivé. Du moins jusqu’à ce que j’entende sa voix qui me demande de ne pas allumer la lumière comme je comptais justement le faire en m’approchant de l’interrupteur. J’obéis docilement, toujours aussi intrigué. Je fais quelques pas hésitants avant de m’arrêter au milieu de la pièce. Du moins je l’imagine, parce qu’en attendant je n’y vois toujours rien. Et je ne comprends pas non plus, je suis un peu lent d’esprit parfois. « Tu m’expliques ? » je demande sourcils froncés. Je le sens s’approcher et je perçois aussi la chaleur de son corps qui reste à une infime distance du mien. Je me sens étrangement frustré et désireux en même temps. Il me parle de mon poème qui laissait très peu de place à l’imagination. Ses lèvres se posent sur mes lobes me procurant un léger frisson d’excitation et sa prochaine réplique me réchauffe au niveau du bassin. « C’est demandé si gentiment… » je souffle en faisant mine d’hausser les épaules. Genre j’hésite. Genre je ne veux pas déchirer ses vêtements là tout-de-suite. Il a l’art de m’embraser. Je pose ma main sur sa joue pour enfin l’embrasser lentement. Je caresse son dos, jouant avec le bord de sa chemise. A présent que ma vue s’est habituée à l’obscurité, je le pousse jusqu’au lit où je l’oblige à s’asseoir pendant que je me mets à genoux devant lui afin de commencer à ouvrir la boucle de sa ceinture.
- Message 2:
Je suis un peu à cran depuis plusieurs jours. L’abstinence ça ne me va pas, d’autant plus quand mon amant se ballade sous mon nez avec toute sa silhouette tentatrice. Parfois j’ai juste envie d’entraîner Xavi dans les toilettes pour un petit coup vite fait, mais il mérite mieux. On a beau vivre notre relation en toute discrétion, c’est avant tout une question d’affection profonde que de sexe. Ça ne m’empêche pas de penser très souvent à lui comme j’ai essayé de le lui dire à travers mon poème. J’imagine que c’est normal à mon âge d’être ainsi désireux et on peut dire que je suis plus que ravi de trouver le bellâtre dans un état d’esprit en adéquation avec le mien. J’en suis déjà à défaire sa boucle de ceinture en caressant doucement ses cuisses à travers le tissus de son pantalon. J’enlève lentement ses chaussures et ses chaussettes pour rendre plus aisé le moment où je ferais glisser son jeans le long de ses jambes. Je commence à m’occuper des boutons de celui-ci pour atteindre le graal quand il me coupe dans mon élan. Je lève les yeux pour le regarder et quand il m’informe de ses intentions d’ôter mon caleçon j’esquisse un sourire. J’adhère plutôt pas mal au programme. Xavi n’avait aucune expérience quand on s’est connu, si bien qu’il m’arrive d’être surpris lorsqu’il prend les choses en mains. Il me tire jusqu’à lui après avoir empoigné mon tee-shirt. Je m’allonge sur le jeune homme et laisse mes doigts courir sur son torse en répondant à son baiser. En une fraction de seconde je me retrouve sous lui, prisonnier de ses jambes qui me maintiennent allongé sur le matelas. Je me laisse docilement déshabillé, facilitant ses mouvements pendant qu’il s’affaire à me retirer mon pull et ma chemise. Je sens une nouvelle chaleur agréable inonder mon bassin quand il pose ses lèvres sur mon nombril. Je frémis de plaisir en le sentant remonter le long de mon torse pour arriver jusqu’à mon oreille. Je m’esclaffe doucement quand il me demande comment je compte reprendre le contrôle. J’aime les défis. La compétition est une part de mon caractère qui se manifeste dans toute sorte de situation, jusqu’aux plus intimes. Je le laisse baiser mes lèvres et pendant qu’il s’attaque à mon cou je susurre à son oreille. « Tu me sous-estimes. » Je lève légèrement les hanches pour me plaquer un peu plus contre Xavi. Instinctivement j’imprime un léger mouvement de va et vient à mon bassin, abordant un sourire carnassier. J’étudie son visage pour jauger les émotions qui y passent et quand je comprends qu’il a l’air d’apprécier une position plus qu’une autre j’oriente mes ondoiements lascifs en fonction. Je me redresse légèrement pour embrasser sa mâchoire. Je remonte sur sa bouche et serre en douceur sa lèvre inférieure entre mes dents suffisamment lentement pour ne pas lui faire mal. Il desserre l’emprise qu’il avait sur mes poignets et j’en profite pour les dégager afin d’enlever à mon tour son haut. J’arque mon dos et passe ma langue sur un de ses pectoraux parfaitement dessiné.
- Message 3:
Je ressens une vive excitation en entendant les légers râles de plaisirs de Xavi. En constatant l’effet qu’ont mes mouvements du bassin sur lui, je me presse un peu plus contre son corps avec un sourire en coin. Je profite de ce bref moment de déconcentration pour prendre le contrôle de la situation en venant cueillir ses lèvres. Quand je passe ma langue sur son téton, j’ai tout le loisir de constater que son souffle se fait plus rauque et que son cœur bat plus fort dans sa poitrine ce qui a le don de me stimuler encore davantage. Il prend ma tête entre ses mains et je me rallonge lentement sur le matelas pour profiter de son baiser. Je caresse doucement son dos, répétant des mouvements de bas en hauts le long de sa colonne vertébrale dont la vitesse et la pression se font irrégulières. Il dépose successivement ses lèvres dans mon cou puis sur ma poitrine, me faisant frissonner à chaque fois que sa bouche vient s’écraser sur une partie de mon corps. « Je sais… » j’en profite pour souffler en réponse à sa précédente réplique. Même en pleine intimité, j’ai parfois du mal à me défaire de mon côté quelque peu crâneur. Xavi commence à aspirer ma peau comme une vraie sangsue. J’essaye de me libérer de son emprise, plus pour la forme que parce que ça ne me plait pas. Au fond, j’aime bien l’idée d’avoir une marque laissée par mon amant. Ça m’embrase d’entre-apercevoir un suçon dans mon cou au moment de m’habiller, qui vient ainsi me rappeler la nuit délicieuse que j’ai passée même si dans l’idée je deviens la propriété du bellâtre. Je me débats un peu aussi parce que je ne suis pas sûr que ce soit une excellente idée de garder une trace violette suspecte dans mon cou. On est en hiver, ce n’est pas si compliqué de la cacher sous des habits, mais la vie en collectivité s’étend ici jusqu’aux douches. Je vais devoir me montrer très prudent dans les prochains jours. Il se redresse, manifestement fière de lui. Je m’esclaffe et dépose une main affectueuse sur sa joue qui bouge ensuite en même temps qu’il descend vers mon nombril pour se glisser dans ses cheveux. Je le cajole délicatement pendant qu’il s’occupe des boutons de mon pantalon. Je frémis de plaisir lorsqu’il effleure le tissu de mon caleçon et encore un peu plus quand il se penche plus tard pour y déposer ses lèvres. Je sens mon désire monter en flèche et quand il revient pour embrasser furtivement mes lèvres, je ne tarde pas à nous faire rouler sur le côté pour accélérer les choses et reprendre le contrôle. Enfin. Je caresse son torse et y dépose quelques baisers rapides, sourire aux lèvres, à mesure que je m’approche de ce que je n’ai pas eu le temps de terminer. J’arque un sourcil suggestif lorsque mes doigts s’accrochent aux pans de son vêtement déjà prêt à être retiré, que je fais ensuite glisser le long de ses jambes. J’effleure cruellement sa peau qui se trouve juste au-dessus de l’élastique de son caleçon et j’embrasse l’intérieur de ses cuisses à plusieurs reprises sans jamais venir toucher directement son entre-jambe. Je continue comme ça pendant un petit moment, jusqu’à ce que je revienne rapprocher mon visage du sien. Ma main se faufile entre nos deux corps afin de commencer à s’immiscer dans son sous-vêtement et je m’arrête juste avant que mes doigts entrent en contact avec son intimité. « Tu veux ? » je le questionne dans un murmure en venant mordiller doucement sa lèvre inférieure.
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