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Rosamie
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Message (#) Sujet: privacy (lun., 10h45) — Lun 1 Juin - 12:35

FT. @Costa

t'étais tranquillement en train de déballer tes affaires, la tête dans le cul et le cul dans le brouillard aux alentours de six heures du matin lorsque tu as très clairement entendu le buzzeur se déclencher. tu sais, sans le savoir, que ton heure a sonné. Costa, il a des doutes sur ton secret depuis plusieurs semaines et tu le sais très proche de la vérité. alors t'es pas forcément super surprise qu'il te buzze alors qu'il vient de récupérer ce pouvoir. mais lorsqu'il entre dans la chambre, t'es déjà couchée, exténuée par le voyage, la soirée et ces awards négatifs qui te sont tombés sur la gueule. Costa est pas en reste de son côté non plus, il a pas mal de gages à réaliser cette semaine pour contrebalancer son égocentricité. tu émerges aux alentours de dix heures quarante-cinq, les yeux encore collés et pas franchement en état de découvrir la ville comme tu le voudrais. sauf qu'il serait temps que vous vous bougiez si vous voulez un peu voir votre nouvel environnement. t'as déjà du mal à capter où vous êtes, parce que tu t'es habituée à ta suite avec vue sur le lac d'Hallstatt en trois semaines. alors cette chambre, elle te revient pas quand tu ouvres les yeux. tu les frottes, tu bascules sur le côté pour faire face au lit de Costa. t'es réveillé ?, tu demandes d'une voix un peu roque en espérant qu'un Costa pas trop réveillé n'est pas dangereux. c'est la fin du traité de paix, alors ?, tu demandes ensuite dans un rire étouffé. au fond, t'as aucune preuve que ce soit Costa qui ai buzzé. j'suis au bout de ma vie., tu soupires en te remettant sur le dos. en tous cas, il a l'air canon ce loft. non, parce que déjà, la chambre est sublime et de nuit, ça avait l'air juste fou, mais de jour tu doutes pas que ce soit encore mieux. t'as fermé la porte à clef en rentrant ?, tu demandes, très sérieuse. non parce que bon, maintenant t'es plus hyper rassurée, t'as appris en fin de semaine que Carl vous aviez déjà espionné, alors tu doutes pas qu'il ai essayé de rentrer dans la chambre pour s'assurer que vous ne dormiez pas dans le même lit. et bim, t'as un tilt. oh putain, j'espère qu'Audimat va bien. parce que vous l'avez laissé au chalet comme un pauvre chat qu'il est. t'espères qu'il va retrouver sa famille rapidement et qu'il va pouvoir vivre une vie de pacha.
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Costa
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Message (#) Sujet: Re: privacy (lun., 10h45) — Lun 1 Juin - 20:38

La fin du prime, il la vit de façon un peu chelou, Costa. Il y a les awards qu'il a gagnés qu'il doit se trimbaler, l'annonce de leur séparation en deux groupes et le fait qu'un regard avec Santo a suffit pour conclure ce qu'ils ont tous les deux compris : ils seront séparés. Le départ d'Ashley et Izïa, qui le laisse perplexe mais un peu indifférent dans le fond, parce qu'il s'était déjà fait à cette idée depuis quelques jours et qu'il était surtout gorgé de satisfaction de voir revenir Aera, Louis et même Maci. Puis le moment de découvrir leurs deux groupes, le goût amer que ça lui a laissé de devoir quitter son petit frère, à nouveau, et dans une moindre mesure, forcément, Aera et Cami, et tous les autres qui vont se retrouver à 100 kilomètres de là, Lejla, Gi, Maci, Mica. Il s'entend bien avec tous, Cos, et c'est pas anodin qu'il se retrouve privé de leur compagnie, du coup. Il est pas mécontent de son propre groupe non plus, mais les au revoir lui sont quand même étonnement amers. Surtout quand Aera se contente d'un hochement de tête avant de se détourner sans rien dire. Il pige pas trop, Costa, sur le moment, mais il est entraîné par les autres pour un long trajet qu'il passe enfermé dans sa tête. En arrivant dans leur nouveau chez eux, Cos, le premier truc qu'il fait, avant même d'aller chercher ses affaires et la chambre qu'il partage avec Rosamie, c'est de déambuler jusqu'au confessionnal pour aller buzzer sans réfléchir. Il a pas la moindre idée de quelle heure il est, mais il a juste le besoin viscéral de se sortir de préoccupations qui sont supposées être secondaires pour se replonger dans le jeu. L'alarme du buzzeur le réveille mais pas assez, alors il sort de là sans un mot de plus et, après avoir jeté un coup d’œil dans le couloir par réflexe, il ferme la porte de sa nouvelle chambre. Un regard sur la silhouette endormie de Rosa le fait tourner sans réfléchir la clé dans la serrure. Puis il s'effondre sur son lit. Il dort peu de manière général, Costa. C'est un couche tard et un lève tôt, qui puise sans cesse dans son mental pour palier à ce qu'il fait subir à son corps. Mais pour une fois, son esprit l'autorise à excéder son heure habituelle. Lorsqu'il s'éveille, le silence de la pièce l'apaise. Il capte juste la respiration de Rosamie, toujours endormie. Un bras contre ses yeux, il roule sur le ventre, cherche à tâtons sa tablette qui doit être posée par terre puis se cale pour traîner sur le RS, relisant tous les commentaires sur le prime. Au bout d'un moment, du mouvement dans le lit voisin l'informe du réveil imminent de Rosa, dont la voix enrouée résonne rapidement. « Hm » il expulse simplement en pivotant la tête dans sa direction, calant son menton sur son avant-bras. « Bien dormi ? » il expulse. Pas beaucoup, ça c'est clair. Mais leu chambre, elle est pas mal. Plus moderne que celles du chalet et les grandes fenêtres, malgré les rideaux, laissent filtrer la lumière du jour. Encore une fois, il se croirait dans une série américaine. « Fallait bien fêter notre arrivée » il réplique avec un petit sourire malicieux. Maintenant qu'il y repense en ayant dormi un peu, il se dit que c'était un peu con de se précipiter comme ça, mais peu importe, il aime bien suivre son instinct, quitte à se planter lamentablement. Au moins, ça l'éclate de jouer, d'autant plus qu'il est loin d'avoir beaucoup buzzé. « Faut utiliser quel pronom quand c'est vous et moi, enfin il ? » il relève en se rappelant brusquement la punition qu'il se tape à cause de l'un de ses awards. Mais il grogne finalement pour signifier qu'il a la flemme de réfléchir à la question. ça va lui casser sérieusement les couilles, ça, il le sent d'avance. Il se marre un peu quand elle continue de parler parce que dieu qu'elle est bavarde au réveil. Puis elle redevient sérieuse et lui aussi. Il sait pourquoi elle pose ce genre de question, Rosa, malheureusement. C'est aussi un truc auquel il a pensé en apprenant qu'ils allaient partager la même chambre pendant toute la semaine. « T'inquiète. » Même en étant à moitié mort, il a un le réflexe de le faire, avant même qu'elle ne le lui demande, et il peut pas s'empêcher de trouver ça triste. Mais il pige mieux pourquoi Carl en avait pas grand chose à foutre quand il lui a dit que ça servait à rien de se comporter comme 90% des followers mecs de Rosa. « S'il le voit dans cette chambre, il lui arrache les yeux de toute façon » il annonce sans émotion particulière, en prenant le pli de réfléchir ce qu'il dit. Le cas Carl est compliqué. Dans sa tête, il existe plus vraiment. C'est un élément du décors. Il ne sera pas désagréable avec lui mais pas forcément agréable non plus, dans l'absolu. Par contre, au moindre truc qui ne lui plait pas, Cos il hésitera pas à le casser en deux s'il faut. Il a été plus que tolérant avec lui, jusque-là. « Tu te sens comment ? » Par rapport à tout ça. Costa, il est un peu ciblé par défaut, parce que Carl s'est mis dans la tête qu'il était le grand méchant de son petit film inventé sur sa vie avec Rosa. Mais au fond, ça n'a rien à voir avec la façon dont elle doit gérer le secret de Carl. Rosamie, elle s'inquiète d'un dernier truc qui lui tire un sourire. « La prod l'aurait pas laissée seule là-bas » il fait remarquer. « Elle a sûrement retrouvé sa famille, après ses petites vacances avec nous. » ça le fait marrer cette idée. Didi qui se payait des petites vacances tranquilles avec les boloss de la télé-réalité. Il laisse retomber sa tablette. « Bizarre d'être là non ? On se croirait dans la suite du film qu'inspire la bulle détente » il conclut. ça lui fait toujours cet effet quand on le sort de son environnement, au début. Ouais, y'a pas d'autre mot. Bizarre. Pour l'instant, en tout cas.
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Message (#) Sujet: Re: privacy (lun., 10h45) — Lun 1 Juin - 22:40

le réveil est difficile. parce que finalement, t'as pas beaucoup dormi et les rideaux n'ont pas suffit à retarder l'heure de ton réveil déjà tardif. tu te consoles en te disant que tu dormiras mieux le lendemain, mais t'es clairement pas au bout de tes peines, parce que tu te doutes que le trajet du retour sera tout aussi éprouvant que l'allée et que ton lundi matin sera tout aussi difficile. t'auras jamais tant pris l'avion en une année qu'en participant à Thrown Dice, ce qui en dit long sur ta consommation de l'industrie aéronautique. en tous cas, Costa a l'air réveillé, tu sais pas trop s'il est bien réveillé mais il l'est et c'est déjà pas mal. il te demande comment tu as dormi et la réponse que tu t'apprêtes à lui donner te faire marrer d'avance. est-ce que ça fait superficielle, si je te dis que le lit de la chambre 5 étoiles était un poil meilleur que celui-ci ?, tu demandes en riant, y'a une part de vrai là-dedans, mais le fait que tu baisses un poil en confort ne te dérange pas plus que ça. t'étais bien dans ton lit 5 étoiles, mais tu seras tout aussi bien dans ce lit là. nickel. et toi ?, tu demandes à ton tour dans un sourire. tu préfères quand même préciser que t'as bien dormi, parce que c'était sa question, à la base quand même. tu évoques le buzz et forcément, il plaisante à son tour. ça te fait rire, et tu ne peux que laisser échapper un deuxième éclat de rire lorsqu'il te demande quel pronom il est censé utiliser pour ne pas dire nous. tu tentes un début de réponse. euh, bah vous. non ? tu demandes avant qu'il ne grogne. il a pas l'air de vouloir réfléchir à ça tout de suite, alors tu n'essaieras pas de justifier le choix du pronom vous. il se débrouillera, il gèrera comme il le veut. au pire, il aura qu'à demander à la prod, ce sera beaucoup plus simple. parce que toi, t'essaies de réfléchir mais ça donne rien de très concluant non plus. il est trop tôt. tu essaies de sortir de ton état léthargique, et pour ça, tu sais qu'il n'y a qu'une seule solution : parler. y'a que ça qui t'empêche de replonger dans un sommeil profond, et tu sais que t'as envie de faire quelque chose de plus productif aujourd'hui, aussi. tu finis quand même par poser une question importante à ton coloc, parce que t'as aucune envie de te retrouver avec un Carl possessif et jaloux au pied de ton lit. il te demande de ne pas t'inquiéter et tu lâches un soupir de soulagement. sa remarque suivante te fait marrer, plus à cause de cette histoire de pronom que pour ce qu'elle dit réellement. mon pauvre..., tu souffles. tu compatis tellement. surtout que t'as échappé de peu à cet espèce de défi que la prod lui a donné. après, je suis pas pour de la violence non plus., tu préfères préciser. parce que t'as aucune envie que Costa se fasse sortir du jeu aussi bêtement en essayant de t'aider (et de s'aider, aussi) face à ton stalker. merci de l'avoir fait., tu souffles dans un sourire en te retournant sur le côté pour poser ton regard sur son visage, avec un large sourire sur les lèvres. il te demande comment tu te sens et forcément, tu grimaces un peu. mal. je me sens observée en permanence., tu expliques rapidement. et là, vous êtes dans un espace restreint et t'as vu qu'une salle de bain. autant dire que t'as aucune envie de te doucher en maillot de bain, avec un Carl qui te regarde dans le miroir en se brossant les dents. rien que d'imaginer la scène, ça t'arrache un frisson. c'est une chose, de savoir que y'a des milliers de gars qui se paluchent sur mes photos... tu commences, avant de t'arrêter. enfin tu vois, c'est autre chose de gérer ça., tu souffles finalement. et puis y'a autre chose. et puis, là, c'est pas pareil. je veux dire, sur les réseaux sociaux, même si je suis moi-même, je montre qu'une toute petite partie de ma vie. là, il a accès à tout. tu hausses une épaule et remonte un peu la couverture par réflexe. tu jettes ton menton vers Costa. et toi, tu le vis comment ?, tu demandes dans un demi-sourire. tu imagines qu'il le vit mieux que toi, tout ça, que ça l'atteint moins. mais au fond, t'en sais rien, et t'imagines que ça pourrait aussi le faire chier. ça se comprendrait totalement. en tous cas, quelque chose tire ton esprit du sommeil, la pensée qu'Audimat est peut-être seule, abandonnée. Costa, il te rassure directement sur le sort du chat du chalet. j'espère que t'as raison., tu souffles dans un sourire. en tous cas, c'était une jolie découverte. et c'était une découverte de Costa, ce chat. ou plutôt, le chat a découvert Costa. la remarque de Costa te tire un sourire. c'est vrai., tu souffles dans un léger rire. une espèce d'auberge de jeunesse un peu trop classe pour réellement exister. parce qu'au fond, c'est un peu le délire de l'endroit et de l'émission. tu crois qu'il y a un musée ?, tu demandes en riant. peut-être que ton âme soeur de quelques mois, elle est là, quelque part à Graz et que t'es amenée à revenir. pas sûr que la prod accepte de nous laisser batifoler ici., tu fais remarquer dans un nouveau rire.
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Costa
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Message (#) Sujet: Re: privacy (lun., 10h45) — Mar 2 Juin - 21:14

Il se réveille doucement avec Rosa pas loin. C'est toujours sympa de partager sa chambre avec quelqu'un que t'apprécies, c'est chaque soir comme ces fins de soirées où tous les potes s'endorment dans la même chambre, trop morts pour reprendre le premier métro ou son scoot. Jusque-là, Cos il a pas eu deux fois le même coloc et ça lui plaisait bien comme ça. C'est un truc qu'il aime expérimenter, l'intimité avec chacun à son tour. Cette semaine, c'est Rosa, l'habituée des chambres cinq étoiles. « ça dépend, ça fait égocentrique de dire que la compagnie vaut bien un lit cinq étoiles ? » il réplique aussitôt, avec un sourire complice. Il va pas faire le mec et prétendre qu'il est étonné des awards distribués hier soir, que ça soit les siens (il s'est jamais caché d'être égocentrique, encore moins stratège et il a toujours aimé se voir comme redoutable) ou ceux de Rosamie. Au fond, ils sacralisent un peu ce dont il lui parlait le jour où ils ont trouvé Didi, même s'il n'a pas utilisé ces mots-là spécifiquement. Il la trouve ni hypocrite, ni superficielle, Rosa, mais elle a ce côté un peu linéaire dans le sens où, par choix, elle ne fait pas de vague. Dans une émission regardée pour les émois, le drama, l'exacerbation des personnalités, c'est pas si déconnant qu'elle détonne et qu'elle se tape ce genre de réputation. « Pas trop mal. » C'était un sommeil lourd, étrange, nécessaire pour exorciser certains trucs. « ça change de notre bastion italien avec Gianni, ça commençait à sentir vachement les épices » il plaisante. Partager sa chambre avec Gi, ça lui avait permis de renouer avec son pote des premiers jours, après trop de jours à évoluer un peu chacun de son côté et ça, ça n'avait pas de prix. Il y a bien des aspects où c'est celui qui est le plus en mesure de le capter dans ce qu'il dit, ce qu'il a vécu et sa façon de fonctionner, Santo mis à part, bien sûr, alors qu'à bien y regarder, Gi, il n'a strictement rien à voir avec les potes habituels de Costa. Lui, il aurait grandi dans le Naples haut, très loin des quartiers de bitume des deux frères. C'est en découvrant Londres qu'il a en même temps appris à connaitre les Gianni. « Il sent qu'il va pas beaucoup l'ouvrir cette semaine » il soupire comme un môme en lui offrant un regard râleur du matin. Clairement. Il trouvera peut-être une autre stratégie d'approche de sa punition plus tard dans la semaine mais dans l'absolu, il a singulièrement la flemme de faire l'effort de travestir chacune de ses phrases et de les réfléchir avant de les dire. En napolitain, voire en italien, ça aurait été les doigts dans le nez, mais là, malgré son aisance en anglais et l'habitude de le parler, c'est juste relou. Son regard balance naturellement vers la porte et la drôle de symbolique, de protection qu'elle exerce depuis quelques jours. Il a même pas réfléchi en la fermant à clé, Cos, et maintenant qu'il y repense, il trouve ça dingue. Pas tant que ça, parce qu'au final, la condition de Carl, tout le monde en avait plus ou moins conscience, et son attitude vis-à-vis de Rosamie, tout le monde l'avait plus ou moins grillée. Mais la révélation de son secret, ça a comme scellé un accord tacite entre tous de se montrer brusquement accusateurs. « Il veillera à pas le faire devant toi, alors » il répond simplement. Costa, il n'est pas contre la violence. Pas foncièrement, en tout cas. Il a appris qu'elle est parfois le seul vecteur de communication, le seul moyen de faire passer certains messages, la seule manière d'évacuer certaines réalités trop douloureuses pour l'esprit seul. Carl, s'il doit lui en coller une, il le fera. Sans le moindre état d'âme. En étant suffisamment précis et maître de lui pour lui péter le nez sans le lui laisser tordu. Et il ne s'en voudra pas une seconde. Les mots qu'elle aligne, ça le fout en rogne. « Rosa, personne ici le laissera faire quoi que ce soit. Honnêtement, tout le monde doit l'avoir à l’œil et l'attendre au tournant, maintenant. » il lui assure. Maintenant que c'est officiellement un freak, que plus personne ne peut choisir de l'ignorer pour une raison ou l'autre, et que c'est dès lors presque de leur devoir d'intervenir s'ils captent le moindre comportement douteux. « Il est juste un dommage collatéral » il note en dodelinant la tête d'un air entendu. Cos, il a juste eu le malheur d'avoir l'air d'un concurrent potentiel aux yeux de Carl. D'ailleurs, il le lui avait dit, c'était même pas lui qu'il surveillait au début, c'était Gianni. C'est une malheureuse réponse de Rosa durant une chronique qui l'a fait changer de cible. Mais en dehors des épisodes d'espionnage que Costa a rapidement grillé, parce qu'il a l'habitude viscérale d'être ultra observateur, et de quelques coups de sang et mots gratuits, il a pas tant que ça souffert de son statut de grand méchant de film Disney. « Il avait sans doute juste besoin de quelqu'un à blâmer pour ton non intérêt. » Et Cos, avec son espèce d'image de gros tombeur, c'était un peu la solution facile, d'autant que Rosa et lui se sont toujours très bien entendus. Il a vécu pire, lui. C'est pas un petit Carl qui va le perturber quand il vécu vingt-quatre ans dans un quartier gangrené par une mafia presque centenaire. « Et j'ai eu... il a eu le malheur de refuser de lui promettre qu'il se passerait rien entre nous. » ça, jusque-là, il l'avait gardé pour lui. Par respect pour le caractère privé de leur conversation, principalement. Parce qu'à l'époque, il savait pas que ça prendrait ces proportions-là, aussi. Mais maintenant, il a juste le sentiment que cacher ce genre d'infos à Rosamie, ça lui rend pas service, quand on voit comment elle a mis du temps à comprendre l'étendue de l'obsession de Carl à son sujet. Finalement, Rosa change de sujet, probablement peu désireuse de penser davantage à toute cette histoire et songer à Didi, ça doit la mettre de meilleure humeur. « C'est un peu ce que c'est pour nous aussi, au fond » il remarque. Eux aussi, ils sont dans le chalet pour une durée déterminée. Variable et plus ou moins longue selon qui arrivera à se hisser jusqu'en finale, mais ça reste déterminé. Fini. « Tu gères le départ d'Izïa ? » il lui demande, suivant le fil de ses pensées. Son CDD a été révisé un peu plus tôt, elle. Et Rosa, c'était sa pote. Il peut pas s'empêcher de lier, dans sa tête, la beauté du loft, qui est infiniment différent de tout ce dans quoi il a déjà vécu, à la bulle détente, qui lui inspirait également un film. Le sentiment réel d'être à la télé, dans une comédie romantique. « Tu déconnes ? T'imagines la part d'audience ? » il se marre. Une Rosa qui s'envoie en l'air avec un Grazois en plein loft, paie le plot twist, alors que la prod lui a fourni un package italien de grande qualité pendant tout le jeu. Face aux bombes latines, elle aura finalement choisi l'Autriche. La vérité, rien que voir Rosamie s'envoyer en l'air tout court, ça suffirait à faire grimper les chiffres. « Vérifie que t'as bétonné ton contrat avant, ça serait con de pas gratter quelques zéros vu comme t'auras donné de ta personne. » ça le ramène une semaine plus tôt, au même genre de conversation à la con avec Gi sur leurs propres torses nus et la façon dont ils allaient faire raquer la BBC pour récupérer quelques kilos du fric qu'ils se sont littéralement fait sur leur dos. « S'il trouve une culotte rouge sur la poignée de la porte, il comprendra le message » il la taquine. Il pigera que c'est pas le moment d'entrer dans une chambre déjà bien occupée.
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Rosamie
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Message (#) Sujet: Re: privacy (lun., 10h45) — Mer 3 Juin - 22:15

la réponse de Costa te fait rire. t'as eu de la chance depuis le début de l'aventure, t'es toujours tombée sur des gens que tu appréciais énormément dans ta chambre 5 étoiles. t'as fait tes débuts dans une chambre milieu de gamme avec Gianni, et puis ton ascension dans la méritocratie de Thrown Dice t'a permis de goûter au confort absolu en compagnie d'Aera, de Roma et de Santo. et maintenant, vous avez quand même la meilleure chambre du loft avec Costa. alors tu te passeras bien de ton matelas de 40 centimètres d'épaisseur si ça te permet de conserver un coloc que tu apprécies, plutôt qu'être cloitrée dans une chambre de luxe avec un Carl ou une Jill. ça rendrait l'expérience beaucoup moins agréable. sûrement. mais t'as raison, ça se vaut., tu souffles dans un rire. parce que c'est vrai, que t'es bien contente d'être en zone 100% sûre et conviviale en partageant ta chambre avec Costa. promis, je t'étalerais pas mes produits de meuf superficielle sur le visage pendant que tu dors. non, ça ne t'a pas traversé l'esprit une seule seconde, promis. il est dorénavant question de vos sommeils respectifs et Costa t'annonce qu'il n'a pas mal dormi. il te parle ensuite de sa colocation avec Gianni et sa remarque elle te tire forcément une réaction. tu tournes la tête vers lui, tu poses son regard sur le sien. c'est quoi cette expression ?, tu demandes en riant, parce que t'as jamais entendu ça de ta vie. alors là, tu vois pas bien ce qu'il essaie de sous-entendre par là. mais je suis ravie de t'apporter la bouffée d'air frais dont t'avais besoin. tu lâches dans un rire. même si tu te doutes que pour Costa, vivre avec Gianni, c'était loin d'être la pire des vies. parce qu'il est facile à vivre Gianni, t'as testé dès le day 1, et tu ne peux que recommander la coloc avec lui. lorsqu'il est question d'un dilemme de Costa concernant ce qu'il est censé dire à la place de nous, tu essaies d'apporter ton aide, sans grand succès. sa remarque te fait rire. ou alors, on va tous adopter la 3ème personne pour te soutenir. tu lâches en haussant les épaules. faut dire que t'es pas passé loin de cet award là, alors ce serait de bonne guerre que tu l'accompagnes dans sa quête. surtout qu'apparemment, je suis pas loin derrière. je dois avoir un souci à corriger aussi. tu sais pas trop pourquoi t'as aussi été catégorisée comme étant égocentrique. peut-être parce que les discussions sont souvent dirigées vers toi. mais tu te vois mal ne pas répondre aux gens lorsqu'ils te posent des questions. toi aussi, t'en poses, des questions aux autres. enfin, tu prends, ça fait toujours une autre deuxième place pour un award négatif, ça t'a annoncé la couleur pour la suite de la soirée. tu te rassures en te disant que t'as aussi été en lice pour des awards beaucoup plus satisfaisants. le sujet arrive vite sur Carl et tu donnes ton ressenti à Costa, qui n'hésitera pas à le frapper si nécessaire. la violence, t'es pas sûre que ça puisse résoudre quoi que ce soit. t'as jamais été trop confrontée à ça, par chance, mais t'es persuadée que ça changera rien et que ça fera qu'empirer la situation. le fait que tu ne le vois pas faire, ça changera rien à ça. y'aura pas besoin d'en arriver là. tu essaies de t'en convaincre en tous cas. c'est d'ailleurs un peu ce que te confirme Costa lorsqu'il t'annonce que personne ne laissera Carl faire quoi que ce soit. tu poses ton regard dans le sien. t'as pas pensé qu'il pourrait faire autre chose que t'espionner et envahir ton intimité, toi. c'est déjà énorme, mais tu commences à te faire une raison, même si ça te sort de tes gonds. tu crois qu'il pourrait faire quoi ?, tu demandes, inquiète de ce qui pourrait passer par son esprit tordu. tu baisses les yeux, tu te pinces les lèvres avant d'énoncer ta bonne résolution à haute voix. faut que je lui parle. ou que tu cries, tu sais pas trop. en tous cas, vous allez devoir avoir une sacré discussion. mais que maintenant que t'as (enfin) capté, il va falloir que tu fasses en sorte que ça s'arrête, d'une manière ou d'une autre. je lui laisse juste aujourd'hui, le temps de s'acclimater. parce que si y'a bien quelqu'un qui n'apprécie pas le changement ici, c'est Carl. il te l'a déjà dit d'ailleurs, dès votre entrée dans le chalet. alors tu ne comptes pas tout bousculer d'un coup, d'un seul. mais tu as pris la bonne résolution de lui parler, pour éviter que la situation vous échappe totalement, à tous. Costa, lui, il estime qu'il est juste un dommage collatéral, qu'il n'est pas réellement impliqué dans tout ça, juste la victime d'un délire de Carl. tu hausses une épaule, consciente qu'il a sans doute raison. ça te dérange pas d'être cette personne ?, celle qu'il faut blâmer. parce qu'en soi, Costa, il a rien à voir là-dedans, il a été trainé dans tout ça parce que t'as balancé son nom dans une chronique, là où Carl devait attendre de voir figurer le sien. en même temps, t'y peux rien, si Carl, il est pas ton genre de mec et qu'il est pas celui qui te fait rêver. si tant est qu'un mec puisse te faire rêver. les mecs comme Carl, ils passent inaperçus dans une société comme la vôtre. il est correspond pas aux stéréotypes du bachelor, il a juste sa gentillesse pour lui et sa capacité à toucher les autres. tu ne doutes pas que quelqu'un puisse finir par s'intéresser à lui, mais en l'état, ça te semble compliqué. l'aveu de Costa, il te fait te dresser dans ton lit. tu t'assois, te tourne vers lui, les pieds au sol dans ta chemise XXL, les cheveux encore ébouriffés de ta nuit. quoi ? il t'a demandé de lui promettre ça ?, t'essaies d'imprimer. de confirmer que t'as pas compris les choses de travers. parce que c'est une énième liberté que Carl a essayé de prendre sur ta vie et t'es pas d'accord. tu fais ce que tu veux, Costa également. et même si tu sais pertinemment qu'il ne se passera rien avec Costa, t'es pas très heureuse à l'idée que Carl ai essayé d'empêcher que ça arrive un jour. tu te lèves, tu commences à marcher. t'essaies de te contenir pour pas traiter de tous les noms l'irlandais. non mais merde, c'est incroyable qu'il essaie de contrôler ma vie comme ça., ça t'agace. t'es pas sa propriété, à Carl. t'es maître de ton destin et de tes relations, il a pas à se mêler de ce qui ne le regarde clairement pas. tu fais ce que tu veux de ton âme, de tes lèvres, de ton vagin, et si t'as envie d'en faire quelque chose avec Costa, c'est toi et Costa que ça regarde. personne d'autre. tu te rassois sur le lit, et tu tilt. alors tu sors de tes pensées la remarque que tu t'es fait sur Audimat, la chatte que Costa t'a ramené sans trop savoir quoi faire. et il marque un point, lorsqu'il te dit que votre passage ici, il avait une date de fin et qu'il aurait bien fallu trouver une solution pour le chat à ce moment là. c'est vrai. tu remarques, avant qu'il ne change de sujet pour évoquer le départ d'Izïa. tu soupires et te laisse tomber en arrière sur ton lit. je suis deg., tu avoues dans une grimace. elle va nous manquer. nous, étant Roma, Kara et toi, à minima. et puis, la pauvre, elle s'est pris de sacré vagues dans la gueule, pendant ce prime., t'espères qu'elle est pas trop amère face à tout ça, qu'elle ne va pas regretter d'avoir décidé de cette alliance entre vous. t'étais proche d'elle ?, tu demandes parce que tu sais pas trop comment il se situe par rapport à elle. tu te relèves, histoire de poser ton regard sur Costa, un sourcil haussé et un sourire en coin sur les lèvres. dans ces moments là, tu fais ce que tu sais faire de mieux, penser aux personnes qui te manquent en pensant aux bons moments. tu sais que j'ai échangé mon premier baiser avec une fille... avec Izïa ? tu demandes dans un large sourire, ce sourire, il est amusé, complice et joyeux. c'est un bon souvenir, dans une soirée qui a un peu dégénérée. peut-être que Costa, il le sait déjà parce que les nouvelles vont vite dans l'environnement dans lequel vous évoluez au quotidien, ceci dit. mais t'es quand même contente de lui en parler, parce que Costa, il fait partie des gens dont tu te sens le plus proche et il était pas là pour le voir. c'était cool., tu souffles finalement dans le même sourire. c'était pas extraordinaire, c'était pas un baiser qui voulait dire grand chose, sûrement. mais pour toi, c'était quand même une première, et d'après ce que t'as compris de l'histoire d'Izïa, c'était aussi une première pour elle. et ça a du sens, du coup, qu'elle l'ai partagé avec toi. d'ailleurs, ce que tu pourrais partager, c'est une nuit de plaisir charnel avec un grazois et ça, Costa, ça le fait marrer. sa question te fait rire à ton tour. ça fait du bien de rire, après la discussion au sujet de Carl que vous venez d'avoir. beaucoup trop grande dans beaucoup trop de pays. tu lâches en riant. non parce que t'es déjà connue dans une petite partie du monde, mais là, les téléspectateurs, ils font pas partie de tes abonnés si t'as bien analysé ton audience pré-émission. ton contrat dans l'émission, il comprend pas plusieurs zéros en cas de rapprochement trop important ou alors, t'as loupé un truc. alors effectivement, vérifier avant de sauter dans les bras de ton grazois, ce serait pas une mauvaise idée. tu ris. je suis pas sûre que j'ai envie qu'on se souvienne de moi pour ça. et tu te doutes que c'est pas non plus ce que les autres candidats ont envie de laisser comme image dans l'émission. mais c'est drôle de penser que ça puisse se passer. mais c'est quand même dommage de ne pas pouvoir parler aux gens qui vivent ici. j'ai pleins de questions à leur poser. parce que quand t'es en voyage, t'adores discuter avec les locaux pour connaître à quoi ressemble réellement la vie dans le pays en question. mais là, vous avez l'image mais pas le son sur ce pays qui t'es totalement inconnu. de beaux paysages, un menu mystère avec des abats, mais rien de plus. il te parle de culotte rouge sur la poignée de la porte et t'éclates de rire. t'es pas sûre qu'il apprécie beaucoup, Carl. soit il fait une syncope, soit il fait tout pour défoncer la porte. c'est les deux options qui te viennent en tête là. ce serait cruel. tu souffles, même si, au vu de ton niveau d'énervement, t'es presque tentée de faire ça maintenant. tu penches pour quelle option ? tu t'informes, sur ce que Costa pourrait bien prêter comme réaction à l'irlandais.

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Message (#) Sujet: Re: privacy (lun., 10h45) — Ven 5 Juin - 21:21

Cos, il ne prend pas mal une seconde le fait qu'on le classe comme un mec égocentrique. Parce que c'est totalement vrai, qu'il ne s'en est jamais caché et plus encore, qu'il ne voit pas en quoi c'est nécessairement un défaut. Il y a des extrêmes dans lesquels il ne faut pas tomber, comme partout, mais dans sa tête peu objective, sa mégalomanie douce, elle est pas si prononcée que ça. « Vaut pas mieux, ce visage est déjà la propriété de Cami et elle réagit pas bien quand on touche à ses affaires » il la prévient avec un sourire moqueur en désignant vaguement sa tête. Cami, elle a pris possession de sa peau, de ses pommettes, de ses joues, de sa mâchoire, même de ses pores, il y a quelques primes déjà, quand elle a décidé de devenir son esthéticienne perso, juste parce que ça la faisait marrer. Il a douillé sa mère ce jour-là, lui a interdit de l'approcher à nouveau avec son masque il ne sait quoi noir du diable, après avoir étouffé un paquet d'injures en napolitain au moment de l'enlever. Elle se marre face à l'expression qu'il emploie et il se contente de glisser : « trop d'Italiens pour trop peu d'espace. » Il déconne, tranquillement. Par contre, là où il perd toute trace de second degré, c'est quand elle fait mine de proposer qu'ils adoptent tous la troisième personne pour le soutenir. Faut pas lui dire des trucs comme ça, Costa, parce que c'est le genre de mec qui va sauter sur l'occasion à pieds joints. « Chiche » il réplique aussitôt en étirant un petit sourire provocateur. Pas tout le monde, juste elle. Allez Rosa. Dans la situation inverse, lui, comme un con, il aurait relevé le défi sans hésiter et l'aurait regretté amèrement plus tard. « On forme une chambre particulièrement douce, à nous deux on est quoi, stratège, égocentrique, manipulateur, superficiel, hypocrite, désagréable, coureur de jupons ? » il note avec un ricanement. Il en a sans doute zappés d'autres depuis hier soir, et des tout aussi glorieux mais rien qu'avec ça, ils ont un beau package de qualités de cœur à faire valoir dans leur chambre. La chambre, elle s'en inquiète, d'ailleurs, et plus particulièrement de la porte de la chambre, que Cos a pris la peine de fermer à clé par réflexe en allant se coucher, presque à l'aube. Lui, il sait qu'il ne craint rien en termes d'intention ambiguë, et dans le fond, il est persuadé qu'elle non plus, elle ne craint rien. Carl, il prendrait probablement pas le risque de tenter une approche alors que Costa pourrait se réveiller à tout moment deux mètres plus loin. Et est-ce que c'est seulement dans ses pratiques de venir faire le creep dans les alentours ? Il en sait foutre rien. « Aucune idée. Je, enfin, il ne pense pas qu'il pourrait faire quelque chose de réellement grave, mais il est pas le mieux placé pour définir ce qui est grave ou pas. » Costa, il a jamais été la cible de ce genre d'obsession cheloue, il a jamais eu affaire à ce genre de situation et même si ça devait arriver, il est intimement persuadé que ça serait totalement différent, simplement parce qu'il est un mec. Donc pour lui, c'est à Rosamie et à personne d'autre de poser les limites et le cadre de ce qui est acceptable ou pas. Pour peu qu'elle ne soit pas aveuglée comme elle l'est un peu depuis le début. « Il n'a jamais rien fait de bizarre, jusque-là, à part espionner nos conversations ? » ça, il s'en était rendu compte tout seul, au bout d'un moment, parce qu'il passe son temps à observer autour de lui dans une déformation limite professionnelle qu'il garde de ses années au quartier, mais Mica le lui a confirmé plus tard, après qu'elle l'ait chopé en pleine session écoute aux portes. Et encore une fois, ça ne lui faisait pas le même effet à lui qu'à elle. Parce qu'il n'était pas la vraie victime, parce qu'il doit faire moins attention à ce qu'il dit, parce qu'il est, en tant qu'homme, sans doute moins sensible à ce genre de comportement. Il hausse les épaules. « Pas vraiment un problème au quotidien. Il n'a jamais osé le faire trop chier de toute façon, il rasait les murs dès qu'on était dans la même pièce. » il précise avec un sourire un peu moqueur. Et ça, c'est Carl lui-même qui le lui a avoué. Qu'il a peur de lui, pour une raison que personne ne s'explique réellement. Mais vu comme il a suffi d'un tweet pour qu'il le catalogue comme homophobe, ça l'étonnerait pas que le mot "mafieux" l'ait fait vriller dès le début aussi. Cos, il lâche une petite bombe sans y penser et la réaction de Rosamie, elle est à l'image de celle qu'il a eue sur le moment. « Quand on a discuté après le prime où il était pas bien à cause de la chronique d'Elena. Tes réponses l'avaient fait flipper. » il l'informe simplement, dans un hochement de tête. Il s'étend pas plus en explications parce que même s'ils ont leurs différends, ce n'est pas juste, pour lui, de balancer sur Carl s'il n'est pas là pour se défendre. Carl, il n'a pas envie de l'ostraciser à cause de son secret. Il désapprouve complètement, ça le rebute même pas mal, d'autant plus parce qu'il a grandi dans une culture très protectrice de la femme, mais il n'ira jamais lui jeter la pierre pour le simple fait d'exister. « Pas sûr qu'il entende raison, même si tu lui parles. Que ça soit volontaire ou pas à la base, il a l'air tellement ancré là-dedans, ça a l'air impossible de l'en faire sortir » il hasarde en soupirant. Il en a eu un aperçu en parlant avec lui, ce fameux soir mais son côté obstiné et injuste, il l'a aussi vu le jour où ils se sont embrouillés. Après, Costa, il n'est absolument pas proche de lui, alors il n'a aucune idée de ce qu'un conditionnement plus retors et intense aurait comme effet sur ses petites tendances cheloues. « La vie est longue, vous la reverrez. » il répond avec un sourire. Même si leur dynamique n'est plus la même, ici, sans elle, même si toutes habitent sur un côté différent du globe, même si, même si... Costa, il a toujours été partisan de se trouver des moyens plutôt que des excuses. ça va être compliqué pendant quelques jours, peut-être, mais la vie, elle continue. « Ah bon ? A cause de Roma ? ou il y a eu plus ? L'impression de pas avoir suivi le même prime que votre côté du salon » il se marre à moitié, parce qu'il a le sentiment d'avoir raté plein de trucs. Les filles, elles étaient entre elles, comme souvent, et Cos, il avait passé la soirée avec l'équipe Santino, Lejla, Cami, Louis et Jill et globalement, aucun n'était spécialement proche d'Izïa, si bien que personne n'a vraiment relevé les dissensions. Costa, lui, il n'a jamais été particulièrement convaincu par leur alliance donc ça ne l'étonnait au fond pas tellement qu'il y ait des disparités dans les affinités entre elles, mais bon, une stratégie est une stratégie, donc il n'a jamais critiqué. « On a eu des moments sympas mais en vrai, on n'accrochait pas tant que ça, il l'a toujours trouvée un peu... désincarnée ? Avant même que son secret soit à moitié découvert, il avait l'impression de parler à un robot. C'est ta pote, il sait, mais pas trop de feeling avec elle. » il répond très honnêtement. Elle n'a jamais vraiment donné l'impression de donner de l'importance à qui que ce soit d'autres que ses quatre alliés qu'ils connaissaient tous par cœur. ça le dérange pas, Cos, des candidats à apprécier, il y en avait d'autres, et ça ne l'empêchait pas de s'amuser avec elle quand ils tapaient des courses à la patinoire ou quand ils jouaient aux échecs. Quand Rosa lui lâche un petit scoop dont il n'avait pas connaissance, il redresse la tête, l'observe une seconde d'un air surpris, puis il éclate de rire. « Il est devenu une copine de potins ou il rêve ? » Parce que là, Rosa, elle lui balance ça comme si elle venait se confier à sa meilleure pote sur sa première fois. Ils sont quand même rapidement passés de futur power couple hollywoodien (dixit Maci) à meilleures copines. « Félicitations, Rosy B. C'est bien hein, les femmes ? » il souffle avec un vrai sourire complice, limite rêveur. Ouais, les femmes, c'est bien. C'est même vachement bien, il est tout à fait d'accord. Lui, il ne serait rien sans les femmes, il est bien trop attiré par leur amour et l'amour qu'il a à leur donner. « ça voulait dire un truc ? ou c'était juste comme ça ? » il demande, avant d'ajouter avec un sourire narquois : « il prend son rôle de copine au sérieux. » C'est surtout qu'elle a l'air tellement contente et ça lui semble tellement naturel de lui en parler, qu'il accepte de creuser un peu. Il a toujours aimé écouter les gens raconter leurs vies. Mais dans tous les cas, Rosa, elle se voit plus avoir sa petite romance sans prise de tête avec un Grazois adepte de musées, comme dans son petit film inventé. C'est vrai que ce genre de ville au charme très traditionnel européen, ça inspire tout de suite quelque chose d'un peu rêveur. De ce qu'ils en ont vu jusqu'à présent, en tout cas. Rien que le loft, il a des allures  de décor de film brooklynien sur une nana qui se perd dans les méandres de l'amour. « C'est pour ça qu'ils ont inventé la loveroom » il glisse avec un petit sourire. Pour baiser en toute tranquillité. Le but est littéralement dans le nom. Son image ne craint rien, là-dedans, il n'y a aucune caméra, il le sait avec certitude, Costa. « T'as jamais essayé de papoter avec Emre ou Frida ? Moi je, putain... il passe son temps à boire un coup avec Emre. Il me raconte sa vie. Il lui filerait des edelweiss s'il pouvait. » Pourtant, leurs conversations, elles sont souvent assez vides, finalement, parce qu'Emre, il est supposé être un PNJ, il peut pas non plus raconter trop de trucs aux candidats, mais Costa, il a pris l'habitude d'aller faire le tour de leurs spots respectifs pour prendre des nouvelles et garder un peu les pieds sur terre. C'est sa manière à lui de se rattacher au monde extérieur, aussi con que ça puisse paraître. Il explose de rire, Cos, quand elle méprend ce qu'il voulait dire. « Il parlait du pauvre mec qui dort dans le lit à côté du tien mais ok, c'est noté, ça te dérange pas qu'il débarque pendant que tu t'envoies en l'air » il balance avec un sourire de gros chineur. Mais il prend quand même une seconde pour soupeser les différentes réactions possibles de Carl, s'il déboulait dans la chambre pour y surprendre Rosamie en plein acte avec un Grazois random. « Syncope, direct » il estime, sûr de lui, à nouveau, sur base de pas grand chose vu qu'il le connait en définitive très peu, le môme. Mais dans sa tête, c'est le genre de gars qui ne ferait pas de mal à une mouche. Pas physiquement, en tout cas. « Dans le pire des cas, tu boxes maintenant, non ? Il parait que t'es à deux doigts d'être capable de lui botter le cul » il la taquine en se désignant du doigt, parce qu'il suit de loin leur petit entrainement avec Mica, du moins quand elles font des jours de boxe et pas de krav maga. ça l'intéresse parce que la boxe l'intéresse toujours, évidemment, et aussi parce que ce sont les mots de la coach. Bientôt prête à le casser en deux et ça, il dit pas non.

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Message (#) Sujet: Re: privacy (lun., 10h45) — Lun 8 Juin - 21:12

alors que tu lui promets que tu ne le tartineras pas de crèmes pendant son sommeil, il t'annonce que son visage est déjà la propriété de Cami. tu lèves un sourcil, tourne la tête vers lui, l'air mi-surpris mi-amusé. ok, il a attisé ta curiosité. ah ouais ? non parce que tu veux en savoir plus sur tout ça. t'as cru voir passer une photo, mais t'en es pas certaine. faut dire que ce réseau social, il est hyper actif et que t'as du mal à suivre rien qu'en regardant uniquement les photos de tes colocataires. c'est aussi et surtout parce que tu veux pas voir un potentiel flot de haine envers ta personne. ça t'intéresse pas, surtout. parce que si c'est juste balancer de la haine pour balancer de la haine, ça n'a aucune espèce d'intérêt. j'aurai su me rattraper auprès de Cami... tu souffles dans un sourire amusé. parce que t'as toujours un petit dej à lui servir au lit, avec des petites fleurs. sauf que le changement de ville a réduit cette récompense à néant. alors tu n'oublies pas que tu dois lui faire ce petit cadeau dont elle va profiter comme il se doit. tu profites de ton côté d'une expression qui t'étais jusqu'alors totalement inconnue. et Costa, il explicite pour ton plus grand plaisir parce que t'avais véritablement rien compris, toi. aaaaaah !, tu lâches dans un rire. je la ressortirai. tu sais pas trop dans quel contexte tu pourrais bien sortir un truc pareil, mais tu serais tellement fière de pouvoir caler ça dans une conversation, ça te paraît tellement improbable... tout comme la proposition que tu fais à Costa. il s'empresse de te mettre au défi alors tu fais mine de réfléchir une seconde. chiche, mais pas toute la semaine. tu souffles dans un rire. bon, tu vas devoir faire attention à ce que tu racontes à partir de maintenant. mais entendre Costa parler à la troisième personne, ça aide. il évoque votre palmarès, à tous les deux et ça te fait bien marrer. effectivement, vous avez tout pour plaire tous les deux. pour sauver les meubles... elle est un peu bienveillante au moins. et diplomate., t'essaie de te souvenir du positif que t'as eu lors de ces awards. mais il est léger, très léger face à la farandole de titres négatifs qui t'ont été décernés ou pour lesquels tu étais en lice. même si finalement, t'as eu aucun de ces awards là. t'as eu du positif ? tu demandes, parce que t'as pas imprimé la trentaine d'awards distribués cette saison. pas dans leur intégralité. tu te souviens de quelques uns, marquants, mais c'est tout. au moins, ils ne passent pas inaperçus. tu ricanes. parce que finalement, ça veut aussi dire que vous avez marqué l'aventure d'une certaine façon. pas de la meilleure des façons nécessairement, mais vous avez quand même eu des rôles importants au cours de cette aventure et c'est pas rien. c'est sûrement pour cette raison que vous êtes toujours là, contrairement à d'autres. parce qu'à l'intérieur, la vision est différente. mais est-ce que ces awards vont modifier des choses dans cette perception interne au chalet (ou au loft) ? d'ailleurs, ta perception de Carl, elle a évolué. pas à cause des awards, mais parce qu'on t'apprend petit à petit un peu plus de choses sur lui. et si tu ne prêtes pas attention à ce que peut te raconter Jill, tu ne doutes pas de la sincérité de Michaela lorsqu'elle t'a dit qu'elle l'avait trouvé en train de t'espionner pendant que tu discutais avec Costa. alors quand l'italien te dit qu'il n'a pas l'impression que Carl puisse faire quelque chose de réellement grave, tu hausses les épaules. il a raison, lorsqu'il dit qu'il n'est pas le mieux placé, en tant que dommage collatéral des conneries de Carl. elle considère que c'est déjà beaucoup trop, ce qu'il fait. tu souffles. y'a aussi une notion de consentement quand ça touche à l'intimité d'autres personnes et il s'est donné le droit d'espionner. tes conversations, même dans le microcosme du chalet, t'as pas envie qu'elles soient interceptées par les autres candidats. t'as signé pour que le public te regarde, pas les autres candidats. Costa te demande s'il avait déjà fait des choses bizarres et tu secoues la tête positivement. c'est déjà sorti, mais il a fouillé dans m--sa boîte aux lettres. tu expliques. genre dès la première semaine, je crois. tu précises. à vrai dire, ça commence à remonter alors t'es plus sûre de si c'était la première ou la deuxième, mais tout ce que tu sais, c'est que c'est arrivé très vite et que ça a marqué le début d'une série d'abus de la part de l'irlandais. il a trouvé un mot de Presley qu'il a mal interprété, forcément. t'avais promis de tenir cette histoire secrète, mais maintenant que c'est sorti via Gossip TD il y a deux semaines, t'as plus aucune raison de ne pas en parler puisque c'est de notoriété publique à présent. et puis, t'as besoin de confesser ça aussi. parce que ça a été difficile de le garder pour toi et de n'en parler à personne avant que ça s'ébruite. t'as l'habitude de parler de tout à Mahal et Kidlat, et en leur absence c'est compliqué de gérer toutes ces conversations toute seule. de son côté, Costa te confirme le manque de conversation qu'il peut avoir avec Carl au chalet, étant donné que celui-ci n'a pas l'air de vouloir s'approcher de trop près de lui. ça te fait rire. faut dire que tu fais très peur., tu remarques dans un rire. t'as jamais eu peur de Costa, mais tu sais que Carl, lui, il flippe un peu face à Costa. et qu'en plus de ça, ils ont des conversations pas super sympathiques, tous les deux. tu te lèves très rapidement lorsque Costa te dévoile l'une des premières conversations qu'il a eu avec Carl. précisant qu'il s'agissait du premier prime que vous avez passé dans le salon. c'est presque comme si Costa cherchait des excuses à Carl, et forcément, t'es pas spécialement d'accord avec ça. non mais qu'il ai peur ou pas, elle en a rien à faire., tu balances agacée. ça lui donne pas le droit de me traiter comme un objet qu'il veut pas prêter. bon, t'es pas douée avec les pronoms quand tu t'énerves un peu. enfin, la traiter. tu te reprends. ouais, tu vas loin en te comparant à un objet mais clairement, c'est un peu ce qu'il s'est passé dans leur discussion d'après ce que t'as compris. mais d'un côté, il a raison Costa, ça va être compliqué de t'extirper de cette situation. mais t'as pas envie de le laisser faire plus longtemps, ses conneries ont assez durées. elle va faire son possible pour qu'il arrête maintenant, en tous cas. et t'es bien décidée à faire ça. surtout que plus les jours passent et plus tu en apprends sur Carl. alors c'est plus qu'une question de temps avant qu'on ne te dise qu'il te regarde avec des jumelles lorsque tu es à la piscine ou sous la douche, depuis un arbre à l'extérieur du chalet (t'exagères à peine). la discussion dérive sur ta copine Izïa, qui a quitté le chalet la semaine dernière. Costa, il a raison lorsqu'il dit que la vie est longue. tu acquiesces. j--elle espère, oui. notamment parce qu'elle est partie sous une avalanche de mauvaises nouvelles concernant votre alliance, avec Kara et Roma. enfin, il était surtout question de Roma. tu hoches la tête à la question de Costa. non, c'est juste les quelques tentatives de la prod pour foutre la merde entre Roma et Izïa. mais c'est déjà pas mal, parce qu'ils n'y sont pas allés avec le dos de la cuillère de ton point de vue. t'espères surtout qu'Izïa a bien compris que c'était pas à prendre mal et que la chronique d'Elena est juste venue mettre un peu d'huile inutile sur le feu. tu questionnes Costa par rapport à sa relation avec Izïa et il te donne son point de vue sur elle avant de se défendre un peu en t'indiquant qu'il sait que c'est ta copine. tu fronces les sourcils. t'as le droit de ne pas avoir de feeling spécifique avec Izïa, tu sais. ça te fait marrer. temps que tu la respectes, elle est ok avec ça. en tous cas, en comparaison avec le moment irrespect de Jill, Costa y a été très doucement vis-à-vis de ses sentiments pour Izïa. d'ailleurs, tu profites de cette discussion pour lâcher ta petite info concernant ton premier baiser, partagé avec Izïa lors des semaines écoulées. la question de l'italien te fait éclater de rire. comme si les potins étaient nécessairement un truc de femme., tu lâches dans un regard faussement noir. parce que t'as bien compris le fond de sa pensée, à Costa. mais finalement, même si t'as pas mal de copines ici, dans la vie de tous les jours, t'es plus à l'aise avec les hommes temps qu'ils sont pas de gros machos. il te congratules et ça te fait sourire. tu secoues la tête, amusée par sa remarque. j--elle en doutait pas. tu te reprends à chaque fois. mais tu tiens à respecter ton défi. ton sourire s'étend lorsqu'il te pose davantage de questions concernant ce fameux baiser et tu éclates de rire lorsqu'il t'avoue prendre son nouveau rôle au sérieux. elle lui a fait une déclaration d'amour pour un défi à une soirée Schwartz et c'est de cette manière qu'Izïa a répondu à la situation. donc tu peux pas t'avancer concernant ce que ça représentait pour Izïa, mais toi, tu l'as très bien pris et même si ça voulait pas dire grand chose pour toi, t'as quand même dit des choses vraies dans ta déclaration. t'as juste enjolivé davantage certains trucs, dont les sentiments que tu prétendais avoir pour elle pour cette déclaration. donc je... elle peut pas parler pour Izïa. mais elle l'a interprété comme de l'affection, sans que ça veuille dire grand chose de plus. t'es pas très claire. mais généralement, le brun est pas trop mauvais lorsqu'il s'agit de te décoder. c'est un bon souvenir, en tous cas. tu souffles dans un sourire. en tous cas, tu t'imagines volontiers rencontrer l'homme de ton film d'amour interne au sein du potentiel musée de Graz. et même si t'es pas à l'aise avec l'idée de te taper un mec sous le regard de millions de téléspectateurs, Costa, il oublie pas la loveroom. tu hausses un sourcil, un sourire joueur sur les lèvres. elle l'oubliait. notamment parce qu'elle n'y avait pas eu accès, contrairement à l'italien. alors, les réunions stratégiques avec Aera, ça s'est bien passé ? tu demandes dans un rire. c'est que t'es curieuse, même si tu te doutes que la prod ne va pas tarder à vous donner quelques anecdotes et quelques bandes son de ce qui a pu s'y passer. tu avoues être frustrée parce que vous n'avez pas le droit de parler aux personnes qui vivent ici. et Costa t'apprend qu'il a discuté avec Emre. ah non. elle pensait qu'on allait se faire taper sur les doigts... t'es très respectueuse des règles, alors t'as même pas tenté de vraiment t'intéresser plus que ça à eux. si on rentre, elle essaiera. tu prends cette bonne résolution, surtout si Costa t'assures qu'Emre mérite des Edelweiss. faut dire qu'ils doivent s'ennuyer ferme ces gens là, à attendre que vous, les candidats, vous passiez les voir chaque semaine. en tous cas, tu t'imaginais que Costa parlait de Carl, alors qu'en fait, il parlait de lui-même. faut dire que c'est pas évident, comme ça, sorti de son contexte. tu exploses de rire. oh merde, désolée. tu lâches en te laissant tomber en arrière. non, ce serait gênant de toutes façons. enfin, elle pense. ça t'ai jamais arrivé ce genre de plan, mais ça doit pas être la situation la plus agréable à vivre de toutes manières. même si Costa et Aera sont tes choix concernant un potentiel plan à trois entre candidats dans le chalet, ça rendra pas les choses moins gênantes pour autant. t'es assez d'accord avec ce qu'imagine Costa concernant la réaction de Carl face à une telle scène. tu hoches la tête. elle est d'accord. tu finirais presque par t'habituer à parler à la troisième personne. même si t'es pas sûre que ce soit si peu égocentrique, finalement. mais Costa, il imagine quand même une échappatoire pour toi, au cas où le deuxième cas viendrait à se produire. il se désigne du doigt lorsqu'il annonce que t'es presque prête à lui mettre une raclée et tu souris, amusée. t'as raison de préciser. parce que t'es quasiment certaine que t'aurais eu le dessus sur Carl, même sans entraînement particulier. elle espère qu'elle va pas tout perdre pendant cette semaine. ce serait bête. on s'organise notre petit World Series ? tu demandes dans un sourire complice. parce que bon, faut quand même que tu montres un peu de quoi tu es capable avant que vous quittiez cette aventure pour de bon. ce serait bête de ne pas montrer les fruits du travail de Mica sur cette discipline. y'en a d'autres qui boxent, à ta connaissance ? tu demandes, intéressée de savoir si d'autres personnes voudraient disputer ce genre de match. Louis en a fait six mois. tu balances dans un sourire. c'est ce que t'as appris suite à votre entrevue à la salle de sport, où t'étais en train de laminer le sac de frappe. bien plus facile qu'un réel adversaire.

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